Les Ventes Flash de Printemps sont là
Achetez d'occasion
4,73 €
Livraison à 2,99 € 9 - 14 avril. Détails
D'occasion: Très bon | Détails
Vendu par momox fr
État: D'occasion: Très bon
Commentaire: Article d'occasion vérifié. Vendu par momox, professionnel de la vente en ligne d'articles culturels d'occasion. Livre lu en excellent état.
Autres vendeurs sur Amazon
Image du logo de l'application Kindle

Téléchargez l'application Kindle gratuite et commencez à lire des livres Kindle instantanément sur votre smartphone, tablette ou ordinateur - aucun appareil Kindle n'est requis.

Lisez instantanément sur votre navigateur avec Kindle pour le Web.

Utilisation de l'appareil photo de votre téléphone portable - scannez le code ci-dessous et téléchargez l'application Kindle.

Code QR pour télécharger l'application Kindle

Suivre l'auteur

Une erreur est survenue. Veuillez renouveler votre requête plus tard.

20th century boys Vol.11 Broché – 3 février 2004

4,6 sur 5 étoiles 7 évaluations

L'annonce de sa filiation avec Ami laisse Kanna sous le choc, pendant ce temps Kyoko et Sadakiyo se retrouve encerclés par les dreamnavigator dans la maison de retraite où se trouve son ancien instituteur. Sadakiyo fait ses aveux et confie à Kyoko le mémo de Mon-chan. Kana bien qu'ébranlée par cette révélation vole à leur secours. Elle y retrouve Yoshitsune mais surtout des traces de sa mère ancienne bactériologiste pour le compte de l'organisation d'Ami...
TOP NOUVEAUTÉS MANGA

Description du produit

Revue de presse

Lorsque Kanna apprend qui est son père, elle est sous le choc et peine à se reprendre. Et, alors que la jeune fille se perd dans ses souvenirs avec son oncle pour fuir la réalité, un évènement imprévu l’obligera à reprendre du poil de la bête : Kyoko a besoin d’aide, et il est hors de question de la laisser tomber. Car si elle est aux côtés de Sadakiyo, en train de le rassurer sur son statut de « gentil », les dreamnavigators les encerclent. Mais Sadakiyo est plongé dans ses souvenirs, dans sa culpabilité. Pour se racheter, il confiera le mémo de Mon-chan à Kyoko pour que Kanna puisse y avoir accès. Comme toujours, on se demande bien en quoi ce mémo est si important, mais avant qu’on puisse se poser des questions, tout se précipite autour de la lycéenne et de son professeur. En effet, pendant ce temps du côté d’Ami, c’est Manjume et sa femme Takamatsu qui prennent les rênes. Celle-ci semble encore plus déterminée que le prétendu bras droit d’Ami : cette nouvelle figure dans le manga apporte un peu de fraîcheur mais surtout un malaise considérable quand on voit son expression inébranlable.

Sur le toit de la maison de retraite, ce sont les retrouvailles alors que les sbires de Takamatsu rebroussent chemin et que l’histoire prend une nouvelle tournure : avec le retour de Yoshitsune dans le récit mais surtout un semblant d’importance qui nait autour de la mère de Kanna, on se détourne peu à peu de l’identité d’Ami qui reste encore trop floue. La seule information dont on soit sûrs (et encore) c’est que Sadakiyo est à exclure de la liste des suspects. Mais l’heure n’est pas encore aux révélations et Urasawa a l’excellente idée d’orienter sa narration vers de nouvelles contrées, encore bien sombres dans l’esprit des lecteurs. Et tandis que les anciens amis de Kenji se regroupent, Kanna part sur la piste de sa mère pour faire d’intéressantes découvertes. A vrai dire, on ne s’attendait pas à une intervention aussi tardive de Kiriko mais son rôle dans l’histoire va vite devenir primordial et passionnant. On a hâte d’en savoir un peu plus sur le sujet, surtout que la fin du tome bouleverse bon nombre d’hypothèses. Est-ce encore une parade d’Urasawa ou tient-on enfin une piste ? La lecture est agréable mais manque un peu de spontanéité et de nostalgie, le présent est d’avantage important qu’avant, ce qui casse un peu un pan entier du récit.


NiDNiM

(Critique de www.manga-news.com)

Biographie de l'auteur

Naoki URASAWA est né le 2 janvier 1960 à Fuchu dans la préfecture de Tôkyô.
Il étudie à l'université de Meisei où il reçoit un diplôme en économie. Depuis le lycée jusqu'a cette époque il partage son temps libre entre le dessin et la musique. En 4eme année il postule auprès des éditions Shogakukan pour devenir non pas mangaka mais pour intégrer le service commercial ou éditorial. Il profite de sa rencontre avec le responsable du Shonen Sunday pour lui montrer tout de même quelques planches. Si celui-ci ne semble pas convaincu son adjoint lui trouve sa nouvelle intitulée
Return intéressante et la présente au responsable du magazine Big Comic. Sur leur conseils il se présente au concours des jeunes auteurs et reçoit le prix du meilleur jeune mangaka pour cette même histoire.

Il décide alors de tenter sa chance en tant que mangaka et devient assistant.
En 1983 il publie l’année son premier court récit de science-fiction,
Beta! qui sera publiée dans le supplément du Big Comic dédié à Golgo 13.

C'est en 1986 qu'il commence sa première série longue et collaboration avec Kazuya Kudô :
Pineapple Army (パイナップルARMY), qui sera publiée jusqu'en 1988 dans le Big Comic Original et qui fera au total 8 tomes.

Mais c'est avec Yawara! débutée la même année qu'il va réellement rencontrer son public et le succès. Publiée dans le Big Comic Spirits la série est récompensée par le 35ème prix Shôgakukan en 1990 et fait l'objet d'une adaptation en anime (1989-1992), d'un film, et d'un jeu vidéo. Sa parution s’étalera sur 7 ans s'achevant en 1993 avec 29 tomes au total...


En parallèle il publie deux one-shots : Dancing Policeman (Odoru Keikan / 踊る警官) en 1987 et N.A.S.A en 1988, tout deux pré-publiés en 1984 dans le Big Comic, mais réédité suite au succès de l'auteur avec Yawara!

Auteur prolifique il entame en 1988 son second grand succès : Master Keaton, qui sera publié jusqu'en 1994 dans le Big Comic Original et qui comptera dix-huit volumes. Cette série fera elle aussi l'objet d'une adaptation animée en 1998 (disponible en vf chez IDP) et contribuera encore un peu plus à la renommée du mangaka.


En 1993, il débute poussé par son éditeur la comédie-dramatique sportive
Happy! Happy! (disponible en version deluxe chez Panini) qui sera publiée dans le Big Comic Spirits et qui elle aussi rencontrera un énorme succès malgré quelques débuts un peu chaotiques pour se conclure en 23 tomes en 1999. La même année il publiera un one shot consacré au personnage charismatique du grand père de Yawara dans Jigoro...

En 1994, parallèlement à la parution de Happy! il commence la série qui lui tient à coeur depuis un moment :
Monster (disponible en édition simple et deluxe chez Kana) qui sera pré-publié dans le Big Comic Original jusqu'en 2002 avec 18 tomes et une fin magistrale. Une fois de plus le talent narratif de l'auteur fait mouche, c'est un nouveau succès auprès du public, la série est récompensée par 2 prix celui du meilleur manga en 1997 par Shogakukan et en 1999 Grand Prix culturel Osamu Tezuka mais aussi en France en 2003 en recevant le prix de la meilleure série à Angouleme. Sans surprise la série est adaptée en série tv deux ans plus tard en 2004 (disponible en vf chez Kaze)...

En 1999, il se lance dans un nouveau thriller et publie
20th Century Boys et 21th Century Boys dans le Big Comic Spirits, sa série la plus maitrisée et certainement la plus couronnée de succès jusqu'à ce jour. Veritable Best seller, elle reçoit le Prix du meilleur Manga par Shogakukan et Kôdansha, le Prix de la meilleure série au Festival d’Angoulême en 2004 et le Prix Asie ACBD en 2010 . Avec un total de 24 tomes publiées en 2000 et 2007 (22 sous le nom de 20th Century Boys, 2 sous celui de 21st Century Boys) cette série emblématique est un véritable incontournable du manga actuel. (Lire notre dossier).

A noter qu'en 2000 parait le recueil Shoki no Urasawa,
Histoire courtes de Naoki Uraswa qui regroupe l'ensemble des histoires courtes créées par l'auteur dans ces premières années, on y retrouve entre autre Return...

En 2003, il se lance un nouveau défi, fan incontesté de Ozamu Tezuka, il se lance dans l'adaptation de
Pluto, une célèbre aventure d'Astro Boy, héros mytique du "Dieu du manga". Publiée dans le Big Comic Original la série s'achève en avril 2009 au bout de 8 tomes. (Lire notre dossier)

Pluto terminé, Naoki Urasawa démarre en 2008 sa dernière série en date :
Billy Bat / Billy Bat, qui est publiée cette fois-ci par Kodansha dans le Morning magazine.

Détails sur le produit

  • Éditeur ‏ : ‎ Panini (3 février 2004)
  • Langue ‏ : ‎ Français
  • Broché ‏ : ‎ 230 pages
  • ISBN-10 ‏ : ‎ 2845383029
  • ISBN-13 ‏ : ‎ 978-2845383029
  • Âge de lecture ‏ : ‎ Dès 16 ans
  • Poids de l'article ‏ : ‎ 240 g
  • Dimensions ‏ : ‎ 13.4 x 1.4 x 18 cm
  • Commentaires client :
    4,6 sur 5 étoiles 7 évaluations

À propos de l'auteur

Suivez les auteurs pour obtenir de nouvelles mises à jour et des recommandations améliorées.
Naoki Urasawa
Brief content visible, double tap to read full content.
Full content visible, double tap to read brief content.

Découvrez d'autres livres de l'auteur et des auteurs similaires, lisez des recommandations de livres et plus encore.

Commentaires client

4,6 étoiles sur 5
7 évaluations globales

Évaluer ce produit

Partagez votre opinion avec les autres clients

Meilleures évaluations de France

  • Avis laissé en France le 3 novembre 2010
    Après la révélation qui relie Ami à Kanna, cette dernière semble perdue... Nous suivons son errance dans les premières pages. Mais très vite, les scènes se succèdent, abordant l'intrigue sous l'angle des désormais très (trop ?) nombreux personnages qui participent à l'histoire (Yoshitsune-Yukiji; Sadakiyo-Kyôko; Kanna seule: Manjume-Takamatsu); les personnages se croisent et se séparent au grès des évènements, l'ensemble tient debout mais une certaine sensation de confusion me gagne parfois !
    Fascinant autant que primordial pour l'intrigue, le passage ou l'on voit Kanna rechercher le passé de sa mère dans un immense hôpital désaffecté et auprès d'un viellard, est un bijou de finesse autant graphique (dessins au lavis pour la scène du film amateur... superbe !) que scénaristique (les échanges avec le vieux projectionniste dégagent une véritable émotion).
    Un volume qui apporte son lot de révélations mais qui noie un peu l'intrigue dans un surdécoupage des séquences.