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L'Arnaque des nouveaux pères: Enquête sur une révolution manquée Relié – Illustré, 11 septembre 2024
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Bienvenue dans le papatriarcat !
Fini, le daron spectateur à l’ancienne : le nouveau père est enfin investi ! On le voit donner le biberon, déposer les petits à la crèche et assister à la réu parents-profs ! L’avènement de ces « nouveaux pères » qui se mettent en scène sous une pluie de likes Instagram a fait naître l’espoir d’un monde enfin égalitaire entre pères et mères. Un mirage si on gratte un peu… car, curieusement, les témoignages des femmes racontent une tout autre réalité. En France, en 1986, les femmes géraient 80 % des « activités parentales » liées aux enfants. Vingt-cinq ans plus tard, elles en géraient encore 71 %. En 2024, la notion de « charge mentale » se conjugue toujours largement au féminin. La révolution a-t-elle échoué ? Les mentalités et les lois évoluent, mais à un rythme de sénateur… Combien de temps faut-il pour arriver à un monde égal ? Une génération ? Trois cents ans ? Est-ce seulement possible ? Et chez nos voisins ? Dans ce voyage aux confins du « papatriarcat », Stéphane Jourdain et Guillaume Daudin entament une enquête doublée d’une introspection. Qu’est-ce qui a concrètement changé depuis les années 80 ? Quels pères sont-ils ? Qu’est-ce qui empêche les pères de plonger dans un monde véritablement égalitaire ?
Avec un ton léger et didactique, ils racontent leurs rencontres avec des « influenceurs paternels », des sociologues, un ex-ministre ou plus simplement des pères d’aujourd’hui. Les deux journalistes écoutent la parole de chercheurs et chercheuses, consultent les données les plus récentes et les dernières études pour questionner notre Société. Sans oublier d’interroger les principales concernées, les femmes ! Militantes, autrices, philosophes ou plus simplement mères, elles ont des choses à dire et ça tombe bien. L’Arnaque des nouveaux pères, une bande dessinée reportage scénarisée par deux journalistes chevronnés, déjà auteurs des Contraceptés et mise en scène par Antoine Grimée, nous propose une réflexion éclairée afin de comprendre pourquoi le compte n’y est pas, tout en ébauchant des pistes pour un changement véritable. À lire de toute urgence.
- Nombre de pages de l'édition imprimée184 pages
- LangueFrançais
- ÉditeurGlénat BD
- Date de publication11 septembre 2024
- Dimensions17 x 1.5 x 24 cm
- ISBN-102344060189
- ISBN-13978-2344060186
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Description du produit
Biographie de l'auteur
Stéphane Jourdain est rédacteur en chef en charge du numérique de France Inter. Passionné par la musique électronique autant que par les questions de société, il exerce depuis 20 ans en tant que journaliste. On le retrouve au scénario de Les Contraceptés en 2021 où il aborde le « tabou » de la contraception masculine avec Guillaume Daudin.Il a également publié deux essais, Génération Chirac, génération volée chez Denoël et les Daft Punk avec French Touch, une épopée électro au Castor Astral Réside à Paris
Guillaume Daudin est journaliste. Portant un vif intérêt à la question des inégalités entre les hommes et les femmes, il publie son premier roman graphique Les Contraceptés en 2021 chez Steinkis avec son complice Stéphane Jourdain et attire l’attention sur un sujet de société. Avec L’arnaque des nouveaux pères, il fait son entrée au catalogue Glénat et approfondit sa réflexion. Il travaille habituellement pour l’Agence France-Presse pour laquelle il couvre depuis début 2020 les enquêtes judiciaires. Réside à Paris.
Après un master en narration à l'École de Recherche Graphique de Bruxelles, Antoine Grimée retourne chez lui, au Luxembourg, et se lance en tant qu’illustrateur et auteur de bande dessinée. Outre trois ouvrages en langue luxembourgeoise (De Coyote am Schofspelz, D’Geheimnis vum verschwonnene Sall et Fortific(a)tions), il réalise diverses illustrations pour la presse et la scène culturelle locale et publie régulièrement des bandes dessinées d'une page consacrées à des personnages historiques dans le mensuel Warte-Perspectives.
Détails sur le produit
- Éditeur : Glénat BD
- Date de publication : 11 septembre 2024
- Édition : Illustrated
- Langue : Français
- Nombre de pages de l'édition imprimée : 184 pages
- ISBN-10 : 2344060189
- ISBN-13 : 978-2344060186
- Poids de l'article : 488 g
- Dimensions : 17 x 1.5 x 24 cm
- Classement des meilleures ventes d'Amazon : 806 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)
- Commentaires client :
À propos de l'auteur

Je suis journaliste à l'Agence France-Presse depuis 2010. Au sein de l'AFP, je me suis occupé de politique, avec le suivi de l'extrême droite pour la présidentielle 2017, des "fake news", avec le lancement en 2017 du site "AFP Factuel", et je m'occupe depuis 2020 des enquêtes judiciaires parisiennes.
Mais je me suis aussi lancé fin 2018 dans un travail sur les questions de genre, d'égalité hommes-femmes et sur ce que #MeToo a pu changer chez les hommes.
Le premier débouché de ce travail est la BD "Les contraceptés", écrite avec Stéphane Jourdain et dessinée par Caroline Lee. Publiée par Steinkis, elle est sortie en octobre 2021.
Le deuxième débouché, c'est "L'arnaque des nouveaux pères", une BD-enquête publiée par Glénat sur la place des hommes dans les couples hétéros après #Metoo. Je retrouve Stéphane Jourdain au scénario, et la BD est dessinée par Antoine Grimée.
Né en 1986 dans un petit village près de Meaux, où j'ai fait ma scolarité, j'ai ensuite obtenu des licences d'histoire et de sciences politiques à Paris 1, un master de Sciences Politiques à Sciences Po, puis vécu six mois à Sarajevo entre 2009 et 2010. Je suis diplômé du Centre de formation des journalistes (CFJ).
Commentaires client
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- Avis laissé en France le 30 mars 2025Formater: ReliéAchat vérifiéTrès instructif avec beaucoup de références historiques, sociologiques, psychologiques et toutes les sources. On y ajoute l'humour, les illustrations au top et le côté témoignage en toute transparence et sans aucun jugement de la part des auteurs et la recette est parfaite. Vraiment j'ai adoré cette BD. Merci aux auteurs d'y avoir consacré du temps. On a encore trop peu d'hommes à défendre l'égalité des sexes. Seul point négatif, le titre, qui ne donne pas envie de l'offrir : à part le laisser traîner bien en vue pour susciter la curiosité, difficile à faire lire à un papa qui en aurait besoin.
- Avis laissé en France le 8 mars 2025Formater: ReliéAchat vérifiéJe trouve que de traiter ce sujet en bd le rend plus accessible à tous. Les illustrations sont bonnes et les textes faciles à lire. Je recommande.
- Avis laissé en France le 16 novembre 2024Formater: ReliéAchat vérifiéSuper livre que nous recommandons vivement :)
- Avis laissé en France le 6 décembre 2024Formater: ReliéAchat vérifiéTrès bon livre, à lire absolument. J'ai malheureusement reçu le produit abimé.
- Avis laissé en France le 6 mars 2025Formater: Format KindleAchat vérifiéAujourd’hui, encore bloqué sur les années 1950, un mythe médiatique bien rodé veut nous faire croire que les mères sont systématiquement débordées, pendant que les pères se contenteraient de donner un coup de main occasionnel. Ce récit est devenu une vérité clé en main, martelée à longueur d’articles et d’émissions, indépendamment de ce qui se passe réellement dans les foyers. C’est encore le cas avec la parution de cette BD.
Dans cette ambiance saturée de clichés, qu’un père impliqué ose simplement dire qu’il en fait plus que sa compagne, et le voilà immédiatement soupçonné de mauvaise foi. Il minimiserait forcément la fameuse charge mentale ou passerait à côté de toutes ces tâches invisibles que seule une mère serait capable d’assumer.
Ce discours, largement repris et amplifié, efface purement et simplement les pères investis, les ramenant au rang de figurants dans leur propre foyer. Pire encore, lors des séparations, cette image de la "mère martyr" devient une arme stratégique : elle renforce automatiquement sa position face au juge, sur la garde ou la pension, sans même que les faits réels soient questionnés.
Car oui, être une "bonne mère", aujourd’hui, c’est être au bord de l’épuisement. Si une mère ose dire qu’elle va bien, qu’elle partage les tâches avec son conjoint ou qu’elle ne se sent pas sacrifiée, c’est presque suspect. A contrario, se victimiser est devenu un geste récompensé, une posture valorisée dans l’espace public comme dans les tribunaux.
Cette mécanique absurde révèle un véritable tabou : la parole des pères n’a plus aucune valeur, même lorsqu’elle repose sur des faits objectifs. Ce qu’un homme dit de son implication est systématiquement décrédibilisé, avant même d’avoir été examiné.
Dans ce climat biaisé, certains auteurs et « journalistes » choisissent la facilité : ils se contentent de recycler les clichés plutôt que de se confronter à la réalité complexe des familles d’aujourd’hui. Ce choix est confortable, parce qu’il flatte les idées reçues d’une partie du public. Mais c’est aussi la preuve d’un manque de rigueur et de lâcheté éditoriale.
Ce qu’il faudrait, au contraire, c’est avoir l’audace de regarder la réalité en face : oui, les choses ont beaucoup évolué, et oui, nombreux sont les pères qui assument pleinement leur rôle parental. Ce sont ces progrès qui mériteraient d’être mis en lumière, même si cela bouscule la version simpliste, binaire et caricaturale qui oppose systématiquement "mères victimes" et "pères démissionnaires". Ignorer cette évolution, ou pire, la nier sciemment, c’est entretenir une vision mensongère de la famille.
Les faits sont là, mais ils dérangent ceux qui préfèrent entretenir une petite guerre des sexes bien confortable, où chacun reste à sa place : les mères sont des victimes sacrificielles, les pères des fuyards irresponsables. Cette vision manichéenne reflète davantage un storytelling idéologique qu’une observation honnête.
Quant aux chiffres censés prouver cette fameuse répartition inégale, il faut oser le dire : ils reposent sur du déclaratif, c’est-à-dire sur ce que les gens prétendent faire. Or dans un climat où chacun cherche à se raconter sous son meilleur jour - ou à se poser en victime stratégique - ces chiffres sont tout sauf fiables. Ce ne sont pas des faits : ce sont des récits auto-produits, souvent déformés par la pression sociale ou par des stratégies personnelles, surtout en période de conflit.
La place des pères a profondément évolué, mais nos représentations sociales et certains automatismes judiciaires n’ont pas toujours suivi cette évolution. Il est temps de sortir d’une vision archaïque qui oppose « mère dévouée » et « père distant », pour reconnaître pleinement la réalité des familles d’aujourd’hui, dans toute leur diversité. Cette évolution ne profite pas aux pères au détriment des mères , elle profite à tout le monde, enfants compris. Il n’y a pas de « chasse gardée ». L’inclusivité, c’est aussi cela : reconnaître que chaque parent, qu’il soit père ou mère, a une place égale et légitime auprès de son enfant. La parentalité, c’est un engagement partagé, une responsabilité commune.
Je conclurai par ces mots à propos de cette BD et l’image véhiculée par celle-ci : entretenir la polarisation entre les hommes et les femmes n’a jamais fait avancer les familles, mais elle a toujours fait vendre du papier :(
- Avis laissé en France le 15 mars 2025Formater: Format KindleCette BD est accessible aux pères recherchant des réponses à leurs problématiques dans la vie de famille. Les auteurs n’abusent pas, les faits sont là, racontés loin du patriarcat, n’en déplaise à certains. Cela permet de comprendre le point de vue des femmes mais également de voir qu’une avancé (non suffisante) a été constatée de la part des pères dans les familles actuelles, ce qui est déjà ça comparé à nos aînées.
Les illustrations sont sublimes, les thématiques et les interviews sont concises en allant à l’essentielle.
Merci aux journalistes pour leurs travaux de recherche et pour leurs remise en question au quotidien. Vous permettez à d’autres hommes ou femmes de prendre conscience de l’importance d’une famille équilibrée.
Je recommande ce livre à tous•tes, à titre informatif, de découverte ou même en vue d’un changement de vie. ♡
- Avis laissé en France le 10 octobre 2024Formater: ReliéJ’ai adoré cette BD. On peut dire qu’elle est imparfaite et qu’il manque des choses, mais ça fait un bien fou d’avoir 2 hommes qui essaient de comprendre cette inégalité persistante qui existe sur le partage des tâches et la charge mentale - notamment après l’arrivée d’un enfant. Il faut encourager ce genre de discours, partager et offrir cette BD. Des hommes - impliqués au quotidien - qui ouvrent les yeux et se rendent compte que l’écart reste encore énorme à combler c’est, à mon sens, de la santé publique. Merci, j’ai hâte de lire les contraceptés maintenant !
Meilleurs commentaires provenant d’autres pays
- Hugues CREPINCommenté en Belgique le 14 décembre 2024
4,0 sur 5 étoiles Extrêmement éducatif, peu importe sa position
Formater: ReliéAchat vérifiéDonner une appréciation sur cet ouvrage est extrêmement compliqué, j'ai rarement autant détesté un ouvrage tout en devant admettre sa qualité et son utilité.
Il m'a fallu un certain temps pour calmer mon agacement, tout en admettant que cela m'a enfin permis de comprendre pourquoi je trouvais tout cela tellement énervant.
C'est énervant parce que ces personnes ont besoin de comprendre et d'accepter l'égalité homme/femme et s'obstinent à la décliner en recettes de cuisines standardisées parce qu'ils ne comprennent pas ce qu'est l'égalité.
C'est sûrement un ouvrage nécessaire à lire et montrant essentiellement le mythe de l'homme "déconstruit" versus le besoin d'une éducation à la base.
C'est aussi une affaire de classe sociale parce que tour ce discours ne concerne que les personnes qui ne doivent pas se battre pour survivre, pour qui l'emploi et le revenu est vaguement un stress sans plus et dans une relation relativement normée et ne considérant finalement aussi qu'un certain type de femmes. On dirait un monde aseptisé dans ce récit et il est piquant qu'il se soient sentis choqués de devoir admettre que l'égalité se construit ... à deux ... et que certaines, consciemment ou inconsciemment n'en veulent pas.
C'est juste dommage que les auteurs n'aient toujours complètement compris ce qu'est l'égalité après avoir écrit cela, elle reste manifestement une vision non encore internalisée.
Le mérite de cet ouvrage est cependant celui de la confrontation mais aussi de bien présenter que tout ce discours se passe dans le décors d'un monde illusoire et idéalisé où les épreuves de la vie restent rares et limitées, où les rêves et caractères des protagonistes restent assez standardisés et où la dimension religieuse est relativement absente.