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Jour J T45: L'Affaire Ravaillac Relié – Illustré, 6 octobre 2021
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- Nombre de pages de l'édition imprimée56 pages
- LangueFrançais
- ÉditeurDelcourt
- Date de publication6 octobre 2021
- Dimensions24 x 1.3 x 32 cm
- ISBN-102413011153
- ISBN-13978-2413011156
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Description du produit
Biographie de l'auteur
Créateur de jeux de rôles et de cédéroms d'entreprises. Scénariste de bandes dessinées. Directeur de collection aux éditions Posidonia (en 2018).
Illustrateur.
Scénariste de bandes dessinées.
Détails sur le produit
- Éditeur : Delcourt
- Date de publication : 6 octobre 2021
- Édition : Illustrated
- Langue : Français
- Nombre de pages de l'édition imprimée : 56 pages
- ISBN-10 : 2413011153
- ISBN-13 : 978-2413011156
- Poids de l'article : 626 g
- Dimensions : 24 x 1.3 x 32 cm
- Fait partie de la série : Jour J
- Classement des meilleures ventes d'Amazon : 63 436 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)
- 322 en BD Science-fiction
- 445 en Bandes dessinées historiques
- 5 081 en Bandes dessinées pour adolescents
- Commentaires client :
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Commentaires client
- 5 étoiles4 étoiles3 étoiles2 étoiles1 étoile5 étoiles40%25%22%5%8%40%
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Et si l'attentat avait échoué
Meilleures évaluations de France
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- Avis laissé en France le 28 novembre 2021Margot est le surnom de marguerite de France première épouse de Henri IV. Pas celui de maris sa seconde épouse..... Quel contresens qui gâche la lecture
- Avis laissé en France le 23 décembre 2023Le 14 mai 1610, le roi Henri IV part à la guerre. Place de la Ferronnerie, à Paris, son carrosse attend, lorsqu'un forcené armé d'un poignard se précipite, écarte le rideau et plonge son arme dans... un mannequin bourré de paille ?
Le complot a été déjoué, le régicide appréhendé. Mais Ravaillac n'a pas fait dix pas qu'il est à son tour frappé d'un coup de dague. Une violente rixe s'ensuit et le meurtrier est achevé à l'épée.
Jour J est une série de bandes dessinées d'uchronie qui compte déjà une cinquantaine de volumes. Si les scénaristes ne changent pas (Pecaud, Duval, Blanchard), chaque histoire est confiée à un dessinateur différent.
C'est mon mari qui les lit, et, pour ma part, je n'en avais encore ouvert aucune, même si c'est moi qui les lui offre.
Le principe reste le même, bien que les époques et pays soient très variés. Un fait historique très célèbre (Titanic, procès de Jésus, fuite de Louis XVI) ou moins connu est choisi et transformé selon la méthode du « et si... » utilisée par Marcel Thiry dans « Échec au temps » (Et si Napoléon avait gagné Waterloo).
Ici donc, les auteurs ont imaginé que l'attentat commis par Ravaillac avait été éventé.
Je reste perplexe dès les premières vignettes. Le texte dit : « En mai 1610, la Reine Marie de Médicis fut sacrée reine et régente du royaume en la basilique de Saint Denis ». Mais les dessins, eux, représentent le mariage d'Henri IV avec Marguerite d'Angoulême (qu'on connaît mieux comme « la reine Margot ») et Marco Bianchini s'est manifestement inspiré du film de Patrice Chéreau. La deuxième image précise : « Le roi Henri le quatrième partait en guerre et il avait souhaité que les rênes de l’État fussent fermement tenues par la reine Margot » (entre parenthèses, c'est Alexandre Dumas qui a inventé ce surnom qui n'existait pas à l'époque.) Donc, il y a confusion entre les deux reines, et cela continue tout au long du volume, ce qui me perturbe beaucoup.
J'ai été perdue dans les complots et contre-complots, dans les amis qui retournent leur veste et s'entre-tuent. Par exemple, je n'ai pas très bien compris comment Rapine, qui devait assassiner l'amiral de Coligny lors de la Saint Barthélémy était devenu un proche d'Henri IV (camp adverse, donc).
Je pensais que l'histoire serait axée sur le régicide, qu'on capturerait et qui expliquerait ses motivations, mais il occupe à peine quelques vignettes et meurt presque tout de suite, de sorte qu'on n'en entend plus parler.
L'histoire m'a paru très confuse et les dessins très sanglants, la moitié du volume étant consacrée à des duels, meurtres, scènes de torture, de guerre et j'en passe, avec rivières d'hémoglobine.
La vraisemblance la plus élémentaire est bafouée. Ainsi, je doute que la princesse de Condé ait pu descendre de ses appartements à l'aide d'une corde lisse, avec sa robe longue, et puisse patienter suspendue à mi-chemin, tandis que, dans la rue, les hommes se battaient en dessous d'elle. Ensuite, elle part pieds nus et chevauche à califourchon... Hum.
Bref, ce volume ne m'a pas du tout convaincue et je pense que mon expérience s'arrêtera là.
2,0 sur 5 étoilesLe 14 mai 1610, le roi Henri IV part à la guerre. Place de la Ferronnerie, à Paris, son carrosse attend, lorsqu'un forcené armé d'un poignard se précipite, écarte le rideau et plonge son arme dans... un mannequin bourré de paille ?Et si l'attentat avait échoué
Avis laissé en France le 23 décembre 2023
Le complot a été déjoué, le régicide appréhendé. Mais Ravaillac n'a pas fait dix pas qu'il est à son tour frappé d'un coup de dague. Une violente rixe s'ensuit et le meurtrier est achevé à l'épée.
Jour J est une série de bandes dessinées d'uchronie qui compte déjà une cinquantaine de volumes. Si les scénaristes ne changent pas (Pecaud, Duval, Blanchard), chaque histoire est confiée à un dessinateur différent.
C'est mon mari qui les lit, et, pour ma part, je n'en avais encore ouvert aucune, même si c'est moi qui les lui offre.
Le principe reste le même, bien que les époques et pays soient très variés. Un fait historique très célèbre (Titanic, procès de Jésus, fuite de Louis XVI) ou moins connu est choisi et transformé selon la méthode du « et si... » utilisée par Marcel Thiry dans « Échec au temps » (Et si Napoléon avait gagné Waterloo).
Ici donc, les auteurs ont imaginé que l'attentat commis par Ravaillac avait été éventé.
Je reste perplexe dès les premières vignettes. Le texte dit : « En mai 1610, la Reine Marie de Médicis fut sacrée reine et régente du royaume en la basilique de Saint Denis ». Mais les dessins, eux, représentent le mariage d'Henri IV avec Marguerite d'Angoulême (qu'on connaît mieux comme « la reine Margot ») et Marco Bianchini s'est manifestement inspiré du film de Patrice Chéreau. La deuxième image précise : « Le roi Henri le quatrième partait en guerre et il avait souhaité que les rênes de l’État fussent fermement tenues par la reine Margot » (entre parenthèses, c'est Alexandre Dumas qui a inventé ce surnom qui n'existait pas à l'époque.) Donc, il y a confusion entre les deux reines, et cela continue tout au long du volume, ce qui me perturbe beaucoup.
J'ai été perdue dans les complots et contre-complots, dans les amis qui retournent leur veste et s'entre-tuent. Par exemple, je n'ai pas très bien compris comment Rapine, qui devait assassiner l'amiral de Coligny lors de la Saint Barthélémy était devenu un proche d'Henri IV (camp adverse, donc).
Je pensais que l'histoire serait axée sur le régicide, qu'on capturerait et qui expliquerait ses motivations, mais il occupe à peine quelques vignettes et meurt presque tout de suite, de sorte qu'on n'en entend plus parler.
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La vraisemblance la plus élémentaire est bafouée. Ainsi, je doute que la princesse de Condé ait pu descendre de ses appartements à l'aide d'une corde lisse, avec sa robe longue, et puisse patienter suspendue à mi-chemin, tandis que, dans la rue, les hommes se battaient en dessous d'elle. Ensuite, elle part pieds nus et chevauche à califourchon... Hum.
Bref, ce volume ne m'a pas du tout convaincue et je pense que mon expérience s'arrêtera là.
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