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Yellow Cab Relié – Illustré, 13 janvier 2021
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Un Français, chauffeur de taxi à New-York.
Après avoir réalisé des films et des séries pendant 20 ans, Benoit Cohen sent qu’il a besoin de prendre un nouveau départ. En 2014, il déménage pour New-York et décide de devenir chauffeur de taxi pour les besoins de l’écriture d’un scénario. En plongeant au cœur de la ville, en se nourrissant de la richesse de la métropole, il espère retrouver l’inspiration. Dans une école du Queens, il apprend les ficelles du métier, fait la rencontre de ses futurs collègues, migrants de tous pays à la recherche du « rêve américain », et affronte le labyrinthe administratif qui mène à la licence de taxi driver. Au volant de l’emblématique yellow cab, il arpente les rues de Big Apple, observe les visages de milliers de passagers et emmagasine les histoires.
Benoit Cohen pensait tirer un film de cette aventure mais le projet se transforme finalement en un récit publié chez Flammarion. Cet ouvrage traversé de souvenirs personnels, de références cinématographiques et de réflexions sur le processus créatif, prend dorénavant la forme d’une bande dessinée grâce au talent de Chabouté. Une aventure sensible, profondément humaine, devenue un album au graphisme époustouflant qui rend un vibrant hommage à la plus célèbre des cités américaines.
- Nombre de pages de l'édition imprimée168 pages
- LangueFrançais
- ÉditeurVents d'Ouest
- Date de publication13 janvier 2021
- Dimensions21.5 x 2 x 29.3 cm
- ISBN-10274930900X
- ISBN-13978-2749309002
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Description du produit
Biographie de l'auteur
Né en 1967, d'origine alsacienne, Christophe Chabouté publie en 1993 ses premières planches chez Vents d'Ouest dans Récits, un album collectif sur Arthur Rimbaud. En 1998, il réalise Sorcières au Téméraire et Quelques jours d'été chez Paquet. Deux albums remarqués et primés, le premier au festival d'Illzach, le second à Angoulême où il décroche l'Alph' Art Coup de Cœur. Avec Zoé paru en 1999 chez Vents d'Ouest, Chabouté prouve que son talent a atteint sa pleine maturité. Ce qu'il démontre avec encore plus d'évidence dans Pleine Lune, qui a reçu le prix Extrapole 2001, le prix de la ville de Limoges, celui du meilleur scénario à Chambéry et deux nominations à Angoulême 2001. En 2001, il réédite Sorcières chez Vents d'Ouest, dont la moitié des nouvelles qui le composent sont inédites. Il publie la même année Un Îlot de Bonheur chez Paquet, album récompensé par une mention spéciale du jury œcuménique de la BD à Angoulême 2002. En 2002 toujours, il collabore à l'ouvrage collectif Léo Ferré en BD et publie surtout La Bête dans la collection Intégra et Purgatoire, en couleurs, pour la collection « Equinoxe » de Vents d'Ouest. En 2006, paraît Landru, suivi par Construire un Feu en 2007, adapté d'une nouvelle de Jack London. Toujours chez Vents d'ouest, il signe : Tout seul en 2008, Terre Neuvas en 2009, Fables Amères en 2010, Les Princesses aussi vont au petit coin en 2011 et Un peu de bois et d'acier en 2012. En 2014, il entreprend d'adapter en bande dessinée le monument littéraire d'Herman Melville : Moby Dick. En 2018, il nous ouvre les portes de son atelier dans Bricoles, gribouillis et fonds de tiroirs, un sublime artbook qui emmène le lecteur dans un voyage graphique retraçant 20 ans de carrière. L'année suivante, il reprend sa série des Fables amères et livre onze histoires courtes du quotidien menées par la douceur, la poésie et le silence... En 2021, il revient chez Glénat au volant de l’emblématique Yellow Cab, une plongé au cœur de New-York où on peut observer les visages de milliers de passagers et emmagasiner des histoires. L'œuvre très personnelle de Chabouté connaît un succès grandissant et a été récompensée de nombreux prix. En 2023, son roman graphique Musée nous immerge au cœur de la vie du musée d’Orsay, avec lequel il remporte le Grand Prix RTL de la BD 2023.
Détails sur le produit
- Éditeur : Vents d'Ouest
- Date de publication : 13 janvier 2021
- Édition : Illustrated
- Langue : Français
- Nombre de pages de l'édition imprimée : 168 pages
- ISBN-10 : 274930900X
- ISBN-13 : 978-2749309002
- Poids de l'article : 915 g
- Dimensions : 21.5 x 2 x 29.3 cm
- Classement des meilleures ventes d'Amazon : 211 315 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)
- 887 en Romans graphiques (Livres)
- 12 443 en Bandes dessinées pour adolescents
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À propos des auteurs
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Né en 1969, Benoit Cohen est producteur, réalisateur, scénariste et écrivain. Il a réalisé six films parmi lesquels Nos enfants chéris (2003) et Tu seras un homme (2013). Il est aussi l'auteur de Yellow Cab (2017) et Mohammad, ma mère et moi (2018), édités chez Flammarion.
Commentaires client
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- Avis laissé en France le 28 décembre 2024Cadeau de Noël. Il a été très apprécié par une fan de new York
- Avis laissé en France le 23 février 2021Chabouté signe, une nouvelle fois, une petite pépite en noir et blanc en s'inspirant de l'histoire de Benoit Cohen, réalisateur français qui a conduit un taxi dans les rues de New York pendant six mois pour les besoin d'un scénario. Le résultat est époustouflant. Un peu délice dans cette ville qui ne dort jamais...
- Avis laissé en France le 27 février 2022Yellow cab de Benoit Cohen c'est l'histoire d'un type anémié complet qui cherche à se faire perfuser du romanesque . Il se dit tiens pourquoi pas devenir taxi à New York et oui bonne idée pourquoi pas . Tout cela donne un récit dans la veine de Vis ma vie .
Chabouté c'est autre chose , c'est une réinterprétation d'ailleurs - page de couverture il titre d'après le roman de . Et ? Et c'est mieux l'âpreté du noir et blanc , les saccades des métropoles mangeuses d'hommes et ne recrachant rien . Des millions et l'amusante plasticité . Eux tels des atomes lancés à toute berzingue en tous sens et se rencontrant parfois . Parfois où ? Dans un taxi par exemple
- Avis laissé en France le 2 septembre 2022A lire si on va également à New-York !
- Avis laissé en France le 2 mai 2021Belle restitution de l'ambiance new-yorkaise et scénario original.
- Avis laissé en France le 10 avril 2021Superbe !
- Avis laissé en France le 24 août 2021Ce tome contient une histoire complète, indépendante de toute autre. La première édition de cet ouvrage date de 2021. Il s'agit de l'adaptation en bande dessinée du roman Yellow Cab (2017) de Benoît Cohen, producteur, réalisateur, scénariste et écrivain. L'adaptation a été réalisée par Christophe Chabouté, pour le scénario et les dessins. La bande dessinée compte 162 planches en noir & blanc.
Le mercredi 3 juin 2015, Benoît et sa compagne Éléonore se promène à New York, le long du fleuve. Elle remarque que quelque chose préoccupe son compagnon. Il lui répond qu'après 20 ans passés à réaliser des films et des séries, il ressent le besoin de souffler, se reposer, lâcher un peu. Maintenant qu'ils vivent leur rêve américain, il souhaite s'immerger plus dans la culture du pays, et faire un métier concret, un métier où il ne se triture pas le cerveau jour et nuit. Ils s'assoient sur un banc, et il continue : serveur, barman, chauffeur de taxi, de bus, vendeur de hot-dogs, ou même promeneur de chiens. Il continue : il pourrait ensuite se servir de cette expérience pour en faire un scénario dont le personnage serait un acteur venu aux États-Unis pour vivre son rêve américain, et qui se retrouverait tout en bas de l'échelle sociale, et deviendrait chauffeur de taxi.
Sa compagne sourit : alors que Benoît déclarait cinq minutes avant être en panne d'inspiration, il est en train de débiter plusieurs idées. Chauffeur de taxi. Dès le lendemain, Benoît effectue une recherche sur internet pour savoir comment on devient chauffeur de taxi à New York. Il pense bien sûr à Taxi Driver, De Niro, Scorcese, Jarmush, Breakfast at Tiffany's, The Game de Fincher, Brand dans Sur les quais, James Cagney, Audrey Hepburn, Ben Gazzara, Benny the cab… C'est une fenêtre sur la folie, l'énergie, la diversité et la violence de cette ville. Il téléphone et effectue sa première démarche : s'inscrire dans une école spécialisée. Il obtient un rendez-vous pour le mardi d'après. Le processus : valider un minimum de 24 heures de cours, passer un examen écrit, et faire un test qui prouve qu'il ne consomme pas de drogue. Coût moyen : 500 dollars. Une fois dans l'école, il regarde autour de lui : que des hommes de nationalité très diverse, une affiche du film Taxi Driver. Il repère une personne qui prend les inscriptions et oriente les clients vers les cours. Celui-ci lui explique qu'il doit commencer par prendre un cours de Defensive Driving, et qu'il doit aussi déposer un dossier au TLC, la Taxi Limousine Commission. En réponse à la question de Benoît, il précise qu'il s'agit d'un cours de prévention et d'information pour récupérer des points. Il lui précise également la salle, car le cours commence d'ici quelques minutes. Une dizaine d'hommes écoutent déjà l'intervenant. Celui-ci expose les cinq règles : viser haut, avoir une vision panoramique, garder les yeux en mouvement, toujours avoir une solution de repli, faire en sorte d'être vu tout le temps. Dès la première infraction, il faut immédiatement engager un avocat et faire durer le processus le plus longtemps possible pour pouvoir continuer à conduire.
En découvrant cet ouvrage, le lecteur peut avoir deux a priori : ça devrait être pas mal parce qu'il s'agit d'une BD d'un bédéaste renommé, c'est dommage que ce soit une adaptation. Il espère également qu'il en apprendra plus sur le métier de chauffeur de taxi à New York. Sur ce dernier point, il est immédiatement rassuré : il va suivre Benoît alors qu'il effectue une à une les démarches pour exercer ce métier, et pendant les premiers mois où il effectue des courses. Cette dimension du récit participe du reportage, avec un le lecteur en journaliste embarqué qui observe chaque étape aux côtés du protagoniste. C'est instructif : découvrir chaque démarche, le cours exotique, les conseils des anciens aux nouveaux, regarder les clients en se demandant qui ils peuvent être, s'ils vont discuter ou pas du tout, flâner dans les rues de New York. À plusieurs reprises, le lecteur se retrouve surpris par un moment auquel il ne s'attendait pas : voir des dizaines d'adultes de tout âge en train de passer une épreuve écrite, se lancer pour la première fois dans la circulation newyorkaise, attendre dans l'agence de taxi pour se voir attribuer un véhicule, ne pas retrouver son taxi après avoir mangé parce qu'il a été emmené à la fourrière, avoir un client s'endormir à l'arrière, prendre soi-même un taxi et bénéficier de conseils sur le l'agence où prendre son taxi, etc. Les dessins apparaissent comme très simple, vite fait, les personnages vite croqués, les contours pas très arrondis aux entournures. Cela insuffle une forme de naturel pris sur le vif à chaque individu, tout en conservant un naturalisme certain dans les tenues vestimentaires pour des personnes de cette classe sociale.
Dès la première page, le lecteur constate que New York est un personnage à part entière, avec cette promenade en bord de fleuve, la rambarde en simple ombre chinoise, l'alignement des bancs qui fait comme une ligne de fuite, et un simple réverbère. En page 10, c'est la silhouette du pont à structure métallique qui domine la case occupant la moitié de la page. Tout du long, le lecteur s'amuse à repérer les éléments d'urbanisme typiques : la ligne de métro en aérien, les voitures du métro, les feux tricolores suspendus au milieu des carrefours, les entrées de métro, les entresols des immeubles, etc., et puis page 69, c'est parti pour la première journée de travail en taxi. Il s'en suit 7 pages muettes au cours desquelles, le lecteur regarde les panneaux de signalisation avec la même inquiétude que Benoît. Il voit les gratte-ciels et leur façade imposante, les lignes électriques aériennes. Il repère l'Empire State Building dans l'alignement d'une avenue. Il s'inquiète en voyant arriver un policier en uniforme alors que Benoît est garé. Il peut observer les différents immeubles lors des courses, constatant les changements de quartier avec les changements d'architecture. L'artiste ne réalise pas un guide touristique, mais il montre la ville au gré des destinations où le taxi emmène ses clients. De ce point de vue, l'ouvrage tient sa promesse implicite de voir du paysage, sans tomber dans l'enfilade de clichés pour touriste.
Le lecteur est vite happé par la narration visuelle qui semble évidente à chaque page. Chabouté dose savamment la densité des décors, généralement réduit à quelques meubles lors des séquences d'intérieur et des dialogues, beaucoup plus descriptifs dans les séquences d'extérieur. Cela ne constitue pas un raccourci pour réaliser certaines plus rapidement : cela fait sens à la lecture. Lors des scènes d'intérieur, l'accent est mis sur la prise d'information, sur la compréhension des démarches à réaliser, et sur les personnages. Cela donne une lecture rapide et légère. À l'extérieur, il y a moins de dialogue, car finalement les clients ne sont pas si causants que ça. L'auteur en vient même parfois à dissocier image et texte, en plaçant ce dernier en dessous pour un ou deux paragraphes, que le lecteur devine repris du livre. Cela donne un ton naturaliste et une lecture très fluide, très agréable, entre les dialogues réalistes et concis, les pages dépourvues de mot montrant les rues, les immeubles et les clients, et les récitatifs épisodiques pas trop longs correspondant à Benoît en train de réfléchir à son scénario, à son personnage principal, à sa situation.
En effet, il songe à restituer son expérience sous la forme d'un film dont le personnage principal serait une actrice venue à New York pour essayer d'y percer et exerçant un boulot alimentaire en attendant. Le lecteur relève de petites touches sociologiques régulières. La place du Yellow Cab dans la représentation de New York, le fait que chaque nouvelle course soit une nouvelle histoire, le fait que la seule couleur de peau qui compte soit le vert (la couleur du dollar), la différence d'échanges avec des clientes s'il avait été une femme conductrice de taxi, le regard de ses amis sur lui maintenant qu'il exerce ce métier, son imposture (conducteur grâce au GPS dans une ville qu'il ne connaît pas), cette situation sociale qui est l'envers du décor du rêve américain. Et puis court tout du long du récit, ce projet de réaliser un film par la suite. Benoît y pense régulièrement en réfléchissant la manière dont il va mettre en scène son vécu de chauffeur de taxi, au travers de ce personnage d'actrice exerçant ce métier. Il se produit donc une double mise en abîme : le récit parle d'un autre récit imaginaire, tout en étant lui-même l'adaptation du récit d'une autre personne, celui de Benoît Cohen qui a écrit le roman, et qui est lui-même un créateur et un auteur d'histoires. Il n'y a bien sûr rien de fortuit dans ce dispositif en enfilade. Du coup, le lecteur y voit aussi un auteur (Chabouté) qui parle de l'acte de raconter une histoire, de création, ce qui devient le thème majeur du récit. Il parle aussi du métier d'acteur, son personnage fictif, une actrice, disparaît du regard des autres en exerçant le métier de chauffeuse de taxi. Mais aussi, elle devient spectatrice de la vie des autres, comme lui est devenu spectateur dans sa bulle à l'abri du froid et du bruit, en écoutant sa musique et en regardant les passants dans la rue.
Chabouté tient la promesse du titre et va même bien au-delà. Le lecteur plonge dans l'adaptation d'un roman qui se lit comme une vraie bande dessinée, tout en conservant la personnalité et l'esprit de l'œuvre originale. Il place le lecteur aux côtés de Benoît qui se lance dans le processus de devenir chauffeur de Yellow Cab, dans une veine de quasi-reportage, avec des personnages presque croqués sur le vif, et une immersion remarquable dans les rues de New York. Il évoque les conditions capitalistes de l'exercice de ce métier, de façon sous-jacente. Par une narration très immédiate et simple de lecture, il immerge le lecteur dans le quotidien de son personnage, au point que le lecteur peut ne pas se rendre compte que l'auteur développe également une mise en perspective de l'art de raconter des histoires, une thématique autoréflexive sur son propre art.