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Something is killing the children tome 1 Broché – Illustré, 24 septembre 2020
- Nombre de pages de l'édition imprimée136 pages
- LangueFrançais
- ÉditeurURBAN COMICS
- Date de publication24 septembre 2020
- Dimensions15.5 x 1 x 23 cm
- ISBN-102381330119
- ISBN-13978-2381330112
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Description du produit
Biographie de l'auteur
Détails sur le produit
- Éditeur : URBAN COMICS; Illustrated édition (24 septembre 2020)
- Langue : Français
- Broché : 136 pages
- ISBN-10 : 2381330119
- ISBN-13 : 978-2381330112
- Poids de l'article : 380 g
- Dimensions : 15.5 x 1 x 23 cm
- Classement des meilleures ventes d'Amazon : 642 630 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)
- 66 103 en Bandes dessinées (Livres)
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- Avis laissé en France le 9 mars 2021Pris la vf pour soutenir l'édition en français mais c'est vrai qu'il est difficile de comprendre le choix d'imprimer en format réduit des comics. Encore pour cette série le dessin est minimaliste mais 3 cm en moins ça fait quand même beaucoup ! Si toute votre gamme urban link est comme ça c'est étrange. Pour le même prix voir plus cher que la vo en plus...
- Avis laissé en France le 7 juillet 2021De nombreuses disparitions d'enfants, dont certaines dans un bain de sang .... bienvenue à Archer's Peak ! 🩸
Ce premier volume pose les bases de ce récit horrifique surnaturel.
On ressent la peur et la paranoïa des habitants terrifiés.
Les couleurs participent parfaitement à rendre l'ambiance lourde et mystérieuse.
Les touches de rouges ne sont que plus fracassantes.
Un bémol sur les doubles pages qui ne sont pas facilement identifiables du premier coup et c'est lorsque j'avais le sentiment de ne pas avoir tout compris que je me rendais compte que les cases étaient à cheval sur les deux pages 😅
Petit coup de foudre pour Erica, chasseuse mystérieuse badass de créatures effroyables qui représente un des atouts majeurs de l'histoire.
Vivement le volume 2 pour découvrir la suite de son combat.
- Avis laissé en France le 27 septembre 2020Ce tome est le premier d'une série indépendante de toute autre. Précédemment, le même scénariste avait réalisé la série The Woods (avec Michael Dialynas) pour le même éditeur. Il est également l'auteur d'une excellente saison de la série Detective Comics et de la série Justice League Dark pour DC Comics. Le présent tome contient les épisodes 1 à 5, initialement parus en 2019, écrits par James Tynion IV, dessinés et encrés par Werther Dell'Edera, et mis en couleurs par Miquel Muerto. Il contient les couvertures de Dell'Edera, ainsi que les couvertures variantes réalisées par Jae Lee (avec June Chung), Jenny Grison, Ian Bertram, Marcos Martín. Il se termine avec les 5 premières pages de The Woods.
Une nuit dans la petite ville rurale d'Archer's Peak aux États-Unis, quatre copains préadolescents ou tout juste adolescents évoquent leur plus grande peur. Le premier raconte la fois où il a dû faire le tour de sa maison tout nu. Le second, James, évoque la fois où il était resté tout seul un soir à la maison et il avait vu une énorme chose dans les ténèbres en train de l'observer de l'autre côté de la fenêtre. Il était allé se coucher dans son lit au fond des couvertures. Au temps présent, James est interrogé par un officier en civil, dans la pièce d'interrogatoire du commissariat. Il explique qu'il a glissé sur un talus, s'est retrouvé au fond du fossé, puis a entendu ses copains hurler alors qu'il ne pouvait plus les voir. Deux semaines plus tard, Erica Slaughter, une jeune femme en débardeur blanc et pantalon maculés de sang sort des bois, une arme tranchante dans chaque main. Elle s'approche d'une jeune fille cul-de-jatte dans une cariole. Elle ouvre le sac à dos posé à côté, et prend une bouteille d'eau pour se désaltérer. Elle reçoit un appel téléphonique qui lui indique que sa prochaine mission se déroulera à Archer's Peak. James arrive au collège et il se fait interpeller par Dan Brisby et un de ses potes. Dan l'accuse d'avoir tué ses copains qui ont disparu dans la forêt, et sous-entend que c'est parce que James est un homosexuel refoulé.
Ayant fait un esclandre et s'étant battu, James se retrouve dans le bureau de John Collins, le proviseur. Ce dernier explique que la disparition de 9 enfants en 2 semaines n'est pas normal, que la seule explication rationnelle de la police serait que ce soit l'œuvre d'un ours enragé, c'est à dire qu'ils n'ont aucune piste, et que la vie continue quand même. James explique qu'il ne souhaite pas rentrer chez lui parce que les cours de l'après-midi l'intéressent. Un bus arrive à la gare routière d'Archer's Peak : Erica Slaughter en descend et contemple le panneau d'affichage sur lequel figure l'avis de disparition d'une trentaine d'enfants. En cette fin d'après-midi, James reçoit un appel de son père lui indiquant qu'il doit rester au boulot et que James doit rentrer tout seul jusqu'à la chambre d'hôtel. Sur le parking, il est abordé par Erica Slaughter. Elle connaît son nom, elle lui montre sa cicatrice sur le côté gauche de son crâne sous ses cheveux. Elle lui dit qu'elle sait qu'il est apeuré, mais elle a besoin de savoir ce qui s'est vraiment passé cette nuit où ses copains ont disparu.
D'une certaine manière, James Tynion IV entame son récit en mettant en œuvre les conventions de genre attendues, une par une. Les enfants qui discutent entre eux pour donner de la consistance à leur peur, le soir dans une pièce avec les lumières éteintes. La chasseuse de monstre, mystérieuse, qui se salit les mains, qui impressionne une enfant mutilée on ne sait pas pourquoi, qui arbore une cicatrice (la preuve de la dangerosité de ses combats). La police qui effectue son travail avec compétence, mais dont les méthodes sont totalement inadaptées. Un pauvre garçon ayant assisté à la disparition de ses copains, sans bien savoir ce qu'il s'est passé dans le détail du fait de l'obscurité. Des autochtones sur les dents ayant bien du mal à faire le deuil de leurs enfants quand les corps n'ont pas été retrouvés, méfiants vis-à-vis des étrangers, et même simplement des individus différents. Il en va différemment de la partie graphique : Werther Dell'Edera, un artiste italien ayant déjà réalisé des comics, en particulier avec Brian Azzarello et Mark Waid. Il détoure les personnages d'un trait fin, un peu cassant, pas toujours régulier, appliquant parfois des aplats de noir à la forme irrégulière, mais aussi des zones grisées au crayon. Cette façon de dessiner place ses cases entre une approche descriptive, et une interprétation simplifiée, parfois enfantine, qui laisse de la place à l'imagination du lecteur.
En regardant les personnages, le lecteur voit bien que James se situe à l'âge pivot entre l'enfance et l'adolescence du fait de sa taille, mais pour le reste il est représenté comme un adulte, que ce soit pour les expressions de visage ou les postures. Erica Slaughter est plus grande, et le lecteur lui donne environ 25 ans, avec une grande expérience du combat. L'artiste en fait une sorte d'héroïne plus grande que nature. Elle est mince, mais il est visible qu'elle est musclée, sans gonflette. Sa chevelure blonde est coiffée en une queue de cheval remontée haut sur la tête, avec une grosse mèche qui cache sa cicatrice sur le côté gauche du crâne, mais aussi son œil gauche. Le lecteur est ainsi amené à interpréter cette représentation comme la vision que peut en avoir un enfant, car il imagine mal une combattante aguerrie diminuer son champ de vision avec une telle mèche. Cette impression est renforcée par l'habitude d'Erica Slaughter de combattre avec un foulard remonté sur la bouche, imprimé avec un motif de dents acérées. Cela semble bien être l'intention également du scénariste qui a choisi un nom comme Slaughter (= massacre). Les autres personnages peuvent être très banals comme Tommy Mahoney (manager d'un diner, et grand-frère de Sophie, l'une des disparues), ou un peu bizarre dans leur apparence (l'interlocuteur d'Erica dans le Bus, la demoiselle cul-de-jatte) mais toujours plausibles (la serveuse afro-américaine avec ses cheveux roux et son anneau dans le nez).
Le lecteur remarque rapidement que Miquel Muerto réalise une mise en couleurs, avec des teintes un peu ternes, dosant avec soin les aplats unis et les tâches de couleur comme mises au pinceau pour rehausser un relief ou une ombre portée, de ci de là. Il effectue en particulier un travail impressionnant pour installer et développer la pénombre lors du combat dans le dernier épisode, tirant les dessins vers l'impressionnisme, alors que le dessinateur ne représente les parois rocheuses que de 2 ou 3 traits dans chaque case, sans intention descriptive de la texture rocheuse, d'une cohérence dans les volumes d'une planche à l'autre. De son côté, Werther Dell'Edera dose également le niveau d'informations visuelles. Ses planches peuvent aller d'une description soignée d'un environnement, à une évocation très superficielle. Au fil des séquences, le lecteur peut prendre le temps de regarder l'escalier menant à l'établissement scolaire de James, et la façade du bâtiment, le parking quasi désert mais très réaliste sur lequel Erica Slaughter aborde James, plusieurs pièces banales du grand pavillon de la famille Mahoney, la façade du bâtiment abritant le commissariat, les allés plus vraies que nature du magasin d'outillage où Slaughter achète sa tronçonneuse avec peu de dispositifs de sécurité. À l'opposé, les bois sont très génériques, sans possibilité de reconnaître l'essence des arbres, le diner de Tommy Mahoney n'a aucun élément remarquable, et la grotte est totalement irréaliste avec ses proportions gigantesques, sans fondement géologique.
La narration visuelle transporte donc le lecteur dans un environnement plausible, oscillant entre le réalisme de la banalité d'une petite ville rurale, et des lieux vagues, habités par des personnages communs et réalistes, avec une exception (Erica Slaughter). Le lecteur tourne une page après l'autre découvrant une scène attendue après l'autre. Il relève quelques particularités. James Tynion IV commence à intégrer des éléments moins génériques : l'existence d'une classification des monstres en fonction de leur taille et de leur dangerosité, l'existence d'une organisation avec une hiérarchie dont elle dépend, la reconnaissance de la compétence née de l'expérience de Slaughter par le shérif Joseph Cavanaugh, et la peluche de pieuvre qui apparaît totalement décalée. Du fait de ces caractéristiques sortant de l'ordinaire, l'intérêt du lecteur subsiste d'un épisode à l'autre.
Le degré d'appréciation du lecteur pour cette histoire dépend fortement du nombre d'histoires de ce genre qu'il a déjà lues auparavant. S'il s'agit d'une de ses premières expositions au genre, il va apprécier l'utilisation des conventions, les dessins entre description réaliste et zones d'ombre propices à abriter des monstres tapis dans le noir, ainsi que la chasseuse de monstres charismatique et mystérieuse. S'il a déjà lu plusieurs histoires de ce type, il ne peut qu'observer que James Tynion IV semble s'appliquer pour incorporer les scènes attendues, et que les éléments originaux ne sont ni assez nombreux, ni assez forts.
- Avis laissé en France le 8 novembre 2020J'aime beaucoup le format Urban Link, dans les premiers tomes sortie ont avait un bon nombre de pages pour 14,50 euros . Mais là c'est du foutage de gueule...le nombre de pages par rapport au prix, alors qu'on est sur un format plus petit et en souple. Je me suis fait avoir pour le tome 1 mais le 2. Je passe à la Vo pour le prochain.
Sinon l'histoire est génial.
- Avis laissé en France le 19 octobre 2020Lu en VO, est c'est vraiment bon, mais l'édition française est une honte, en softcover, format réduit, à prix normal ... Le pire, c'est que si ça ne se vends pas, il ne faudra pas espérer une édition de meilleure qualité. Si après Panini, après Delcourt, Urban se met à faire des éditions de mauvaise qualité, il ne va pas nous rester grand chose. Qu'ils se contentent de leur grosses licences aseptisée aux scénario et aux dessins formatés et laissent l'indés aux bon éditeurs tels que HiComics.
- Avis laissé en France le 27 septembre 2020Cette édition est softcover, de taille réduite sans aucun respect pour l oeuvre et de plus elle est proposée quasiment au même tarif que si elle était parue dans la collection urban classique. A 10 euros ça passerait encore mais pas à ce prix. attendez les intégrales ! Ou au moins faites vous votre idée en magasin physique car c'est une honte
- Avis laissé en France le 18 octobre 2021Super récit, histoire de dingues, l'idée est excellente, hâte d voir la serie