G20 : nouveau film original - 10 avril
Neuf :
-38 % 12,50€
Livraison à 4,99 € 17 - 20 mars. Détails
Il ne reste plus que 15 exemplaire(s) en stock.
Expédié par
monde_de_kamelia
Vendu par
Retours
Retours de 30 jours et garanties légales
Paiement
Transaction sécurisée
12,50 € avec 38 % d'économies
Prix conseillé : 20,00 €
Les prix des articles vendus sur Amazon incluent la TVA. En fonction de votre adresse de livraison, la TVA peut varier au moment du paiement. Pour plus d’informations, Veuillez voir les détails.
Livraison à 4,99 € 17 - 20 mars. Détails
Il ne reste plus que 15 exemplaire(s) en stock.
12,50 € () Options sélectionnées incluses. Comprend le paiement mensuel initial et les options sélectionnées. Détails
Prix
Sous-total
12,50 €
Sous-total
Ventilation du paiement initial
Les frais d’expédition, la date de livraison et le total de la commande (taxes comprises) indiqués lors de la finalisation de la commande.
Expédié par
monde_de_kamelia
monde_de_kamelia
Expédié par
monde_de_kamelia
Retours
Retours de 30 jours et garanties légales
Retournez un produit jusqu’à 30 jours
Demandez le retour d’un produit jusqu’à 14 jours après sa réception, sans motif, pour obtenir un remboursement complet (prix et frais de livraison) au titre du droit légal de rétractation. Amazon.fr permet en plus les retours jusqu’au 30ème jour et le remboursement du prix sans les frais de livraison. Certains produits sont exclus des retours (denrées périssables...). Pour plus d’info sur les retours (exceptions, frais de retour,…), consultez cette page pour les produits expédiés par Amazon et cette page pour ceux expédiés par les vendeurs tiers.

Vous pouvez obtenir gratuitement une réparation, un remplacement ou un remboursement pendant 2 ans après votre achat au titre de la garantie légale de conformité (dysfonctionnement, panne ...). La garantie légale des vices cachés s’applique également. En savoir plus sur les garanties légales.
Paiement
Transaction sécurisée
Votre transaction est sécurisée
Nous nous efforçons de protéger votre sécurité et votre vie privée. Notre système de paiement sécurisé chiffre vos données lors de la transmission. Nous ne partageons pas les détails de votre carte de crédit avec les vendeurs tiers, et nous ne vendons pas vos données personnelles à autrui. En savoir plus
11,37 €
Article d'occasion vérifié. Vendu par momox, professionnel de la vente en ligne d'articles culturels d'occasion. Livre lu en excellent état. Article d'occasion vérifié. Vendu par momox, professionnel de la vente en ligne d'articles culturels d'occasion. Livre lu en excellent état. Voir moins
Livraison à 2,99 € 24 - 27 mars. Détails
Il ne reste plus que 1 exemplaire(s) en stock.
12,50 € () Options sélectionnées incluses. Comprend le paiement mensuel initial et les options sélectionnées. Détails
Prix
Sous-total
12,50 €
Sous-total
Ventilation du paiement initial
Les frais d’expédition, la date de livraison et le total de la commande (taxes comprises) indiqués lors de la finalisation de la commande.
Expédié et vendu par momox fr.
Autres vendeurs sur Amazon
Image du logo de l'application Kindle

Téléchargez l'application Kindle gratuite et commencez à lire des livres Kindle instantanément sur votre smartphone, tablette ou ordinateur - aucun appareil Kindle n'est requis.

Lisez instantanément sur votre navigateur avec Kindle pour le Web.

Utilisation de l'appareil photo de votre téléphone portable - scannez le code ci-dessous et téléchargez l'application Kindle.

Code QR pour télécharger l'application Kindle

Popeye - Un homme à la mer Relié – Illustré, 28 février 2019

3,4 3,4 sur 5 étoiles 6 évaluations

{"desktop_buybox_group_1":[{"displayPrice":"12,50 €","priceAmount":12.50,"currencySymbol":"€","integerValue":"12","decimalSeparator":",","fractionalValue":"50","symbolPosition":"right","hasSpace":true,"showFractionalPartIfEmpty":true,"offerListingId":"iFwNeq6MgeIQMJaVOIYCWl%2FAxdsIZcui9e984nzWG3NJxatzFzIJhYgheefKZadD%2BezduGWFGlYR3Oz65FRJ2mJ1sZ9jv0YeD5XM4W9sD8AutzDYg%2Bw3yY0lT20cvDZj1yIgLAgC%2BW6BcVSY2TZvzFEkMISiXfwWyd%2F3ony0sDUAk9q8ANPPSYSm%2Bc08I%2B2C","locale":"fr-FR","buyingOptionType":"NEW","aapiBuyingOptionIndex":0}, {"displayPrice":"11,37 €","priceAmount":11.37,"currencySymbol":"€","integerValue":"11","decimalSeparator":",","fractionalValue":"37","symbolPosition":"right","hasSpace":true,"showFractionalPartIfEmpty":true,"offerListingId":"iFwNeq6MgeIQMJaVOIYCWl%2FAxdsIZcuiUw7C%2BHYFaakorbf4Ph7uVP0huXTUFYy8vBbDDZtbqWBa5M8Yh0TcDaKL2umcnmYWNnTkl7k%2FPBia8orYh5ZEe6Lpr79%2FL1MUIEtMOg9cA6STkLVyGM7SJ4Y9VEtxefxdYPbJO4ZpPKufkWOfeMr%2BEg%3D%3D","locale":"fr-FR","buyingOptionType":"USED","aapiBuyingOptionIndex":1}]}

Options d'achat et paniers Plus

Un magnifique récit d'aventure poétique et littéraire !

Tout le monde connaît Popeye, ce borgne fort en gueule qui exhibe ses biceps après avoir englouti des épinards en boîte. Il est drôle, Popeye. Sa façon de parler, de manger les mots... et ses expressions toutes faites.
Et pis, c'est un type courageux, un mec bien. Un vrai héros.
Un jour, une drôle de môme au langage fleuri vient lui taper dans son œil valide. Il est trop vieux pour elle. Mais Olive, c'est sa môme, c'est sûr. Même qu'il accepte de partir à l'aventure avec le frère d'Olive...à la recherche d'un fabuleux trésor.

Économisez 3 € sur les frais de livraison de livres
Choisissez le point de retrait éligible qui vous convient lors de la commande et profitez de la livraison gratuite de livres neufs expédiés par Amazon. En savoir plus
Économisez 15% sur hauck

Description du produit

Biographie de l'auteur

Antoine Ozanam est originaire de Rouen. Pendant toute son enfance, il se nourrit de BD et de musique alternative, ses goûts allant d'Alberto Breccia à Peter Milligan en passant par Andréas. Après des études de communications visuelles, il rejoint Bruxelles puis Lille pour créer des affiches pour le cinéma, des clips musicaux, des cédéroms puis des sites internet. En 1999, il sort son premier album : " Hôtel noir ", une BD dont les personnages sont en pâte à modeler. C'est à partir de 2004 qu'il décide de se consacrer uniquement à la bande dessinée. Depuis, il a scénarisé une cinquantaine d'albums dont Temudjin Chez Daniel Maghen, Le roi Banal chez Casterman, E dans l'eau chez Glénat ou plus récemment, la série Klaw aux éditions du Lombard.

Lélis est brésilien et vit au Brésil dans le Minas Gerais, à Lagoa Santa ! C'est un virtuose de l'aquarelle. Il écrit et illustre chaque jour dans le quotidien Estado de Minas. Il a édité plus de 100 livres pour enfants et bandes dessinées dont Last Bullets (éditions Casterman 2009) et Gueule Noire (éditions Casterman 2015) sont tous deux scénarisés par Antoine Ozanam avec lequel il récidive aujourd'hui pour notre plus grand plaisir.

Détails sur le produit

  • Éditeur ‏ : ‎ Michel Lafon; Illustrated édition (28 février 2019)
  • Langue ‏ : ‎ Français
  • Relié ‏ : ‎ 104 pages
  • ISBN-10 ‏ : ‎ 2749936454
  • ISBN-13 ‏ : ‎ 978-2749936451
  • Poids de l'article ‏ : ‎ 664 g
  • Dimensions ‏ : ‎ 20.5 x 1.7 x 27.9 cm
  • Commentaires client :
    3,4 3,4 sur 5 étoiles 6 évaluations

Commentaires client

3,4 étoiles sur 5
6 évaluations globales

Évaluer ce produit

Partagez votre opinion avec les autres clients

Meilleures évaluations de France

  • Avis laissé en France le 3 janvier 2023
    Ce tome contient une histoire complète, indépendante de toute autre, qui met en scène le personnage de Popeye, créé en 1919, par Elzie Crisler Segar (1894-1938), et qui est tombé dans le domaine public européen depuis le premier janvier 2009. Sa première publication date de 2019, et compte cent deux pages de bande dessinée. Il a été écrit par Antoine Ozanam, dessiné et mis en couleurs par Marcello Lelis.

    Sur une mer d’huile, un petit bateau à cheminée est à l’arrêt, avec un filet de pêche à la traîne. Popeye ramène ses filets et constate qu’il n’y a qu’un seul poisson. Il décide que c’est fini pour aujourd’hui et qu’il peut rentrer. Il relâche le poisson à la mer et il met les machines en marche. Il rallie le port sans problème, avec quelques vagues. Il amarre son rafiot et il en descend. Il se fait interpeller par un groupe de trois marins qui raillent le fait qu’il rentre bredouille. Le ton monte et ils sont prêts à en venir aux mains quand la voix de Bosco, un autre marin, se fait entendre. Il a haussé le ton pour indiquer aux policiers qu’ils n’ont pas le droit de faire ça : ils sont en train de mettre des scellés sur son bateau parce que ça fait six mois qu’il ne paye plus ses traites. Maturin quitte ceux contre qui il s’apprêtait à se battre, pour rejoindre son ami, le soutenir dans son épreuve, et lui éviter d’aggraver son cas. Maturin offre un coup à Bosco qui l’accompagne au troquet Rough House. Chemin faisant, Bosco lui avoue qu’il ne sait pas comment il va annoncer ça à sa femme Myrtille et à son fils Junior.

    Arrivé au troquet, Maturin et Bosco s’installent à une table et le premier accepte d’offrir une bière à Wimpy qui vient s’installer avec eux. Il accepte même de leur payer à manger. Wimpy se lève pour aller passer commande auprès d’Olive Oyl la tenancière. Il écarte de son chemin Castor Oyl, le frère d’Olive, un homme de petite taille. Sa sœur le fait passer derrière le comptoir avant qu’il ne se lance dans une bagarre avec Wimpy. Elle lui demande ce qu’il est venu faire ici : Castor est venu pour lui emprunter de l’argent. Elle lui hurle dessus de déguerpir. À la fermeture, Maturin raccompagne Bosco chez lui. Ils sont accueillis par Myrtille et il lui demande de se montrer gentille avec son mari car les huissiers lui ont pris son bateau. Après avoir déposé un baiser sur le front de son ami déjà endormi, il va se mettre au calme à l’extrémité d’un ponton. Quelques instants plus tard, il entend le bruit d’une agression et il intervient. Il se bat contre les voyous qui s’en prenaient à Olive pour la dépouiller de la recette de la journée. Il prend quelques coups, mais les agresseurs le trouvent trop coriace et ils mettent les bouts. Olive le remercie, puis se tourne vers Ham qui vient d’arriver sur les lieux, et Maturin en profite pour s’éclipser discrètement. Il rentre chez lui : une maison en planches au bord de la plage. Il ouvre le placard et en sort une boîte de conserves contenant des épinards : son dîner du soir comme souvent, car il n’a pas péché de poisson aujourd’hui. Le lendemain il est tiré de son sommeil par le soleil qui passe par la fenêtre et il découvre qu’Olive est dans sa chambre.

    Le personnage de Popeye est apparu pour la première fois en 1929, dans le comic-strip créé en 1919, et réalisé par Elzie Crisler Segar (1894-1938). Par la suite il a été adapté à plusieurs reprises en dessin animé : une première série de 1933 à 1957, une deuxième de 1960 à 1962, une troisième de 1978 à 1987, et plus récemment un film en 1980 : une comédie musicale réalisée par Robert Altman, et écrite par Jules Feiffer. Grâce au passage du personnage dans le domaine public, les auteurs peuvent maintenant s’en servir en toute liberté. En entamant sa lecture, le lecteur ne trouve pas de repère sur le moment où se déroule cette histoire par rapport à ce qu’il peut savoir de Popeye. Pour que le récit prenne toute sa saveur, il vaut mieux qu’il en dispose d’une connaissance superficielle : un marin, une amoureuse, un goût immodéré pour les épinards dont l’ingestion est sensée lui donner de la force, et quelques potes, sans oublier un grand costaud qui entretient une solide inimitié à son égard. Avec ces quelques grands traits en tête, il peut jouir de la dimension du ludique de l’histoire, en repérant les éléments identiques et les éléments qui diffèrent, même s’il ne s’agit pas de l’intérêt principal de la lecture.

    La couverture montre un étrange rafiot : des éléments très concrets et réalistes comme les bouées accrochées au bastingage et servant à amortir le choc lors de la mise à quai, l’étroite cabine de pilotage, la couleur rouge de la coque, ainsi que des éléments plus imaginaires comme le gouvernail en proue ou les cheminées démesurées par rapport au moteur de ce rafiot, le tout formant une vision plus onirique et poétique que réaliste et plausible. La première planche montre ce même bateau sur une mer étale, avec une cheminée principale peut-être encore plus imposante, d’une hauteur deux fois plus importante que celle de la cabine. Le gouvernail n’est pas présent à la proue. Les mailles du filet semblent manquer de texture, ni cordage, ni matière plastique. Le nom est griffonné en tout petit sur la coque 4 Cigare, une référence au nom du créateur de Popeye (for Segar). L’artiste détoure les formes d’un fin trait crayonné, pas toujours régulier, voire tremblotant. Il ajoute des éléments à l’intérieur des formes avec le même trait très fin, apparaissant parfois comme griffonné. Les silhouettes des personnages sont détourées de la même manière et présentent des exagérations morphologiques comme l’énorme mâchoire de Maturin et ses yeux plissés au point de ne voir ni leur blanc, ni leur iris, où le corps filiforme d’Olive, celui de Bosco qui évoque un nain de jardin, etc. Il se dégage de ces dessins éthérés une sensation un peu diaphane, surtout quand l’artiste décide de s’affranchir de dessiner l’arrière-plan pendant toute une page, voire toute une séquence.

    Pour autant, le récit ne se déroule pas dans une ambiance cotonneuse déconnectée d’éléments concrets. Comme sur la couverture, Lelis prend le temps de représenter des lieux et des accessoires aussi concrets que possibles. Par exemple, la roue du gouvernail se trouve dans la cabine du bateau de Maturin ce que le lecteur peut voir en page quatre, avec à côté une boussole de navigation, des cadrans de contrôle. L’arrivée au port se fait avec un dessin en plongée depuis le ciel montrant un porte-conteneur, les pilotines et les bateaux pilote servant au lamanage, les grues de déchargement et les bâtiments de la capitainerie. Dans la page suivante, le lecteur découvre en plus des chariots élévateurs, des pontons et des bittes d’amarrage, ainsi que des escaliers pour accéder au quai haut. Ces éléments ancrent les personnages dans des lieux concrets, avec des éléments très pragmatiques. Toujours dans cette séquence, un chat est juché sur une caisse de poissons, en train de les détailler pour choisir son festin. Le troquet Rough House est implanté en coin de rue, avec un rideau de fer tiré pour le magasin d’à côté. Ses tables et ses chaises sont de forme simple et endurante. Lorsqu’Olive se rend chez Maturin pour le remercier, le lecteur peut jeter un coup d’œil dans sa pièce principale où se trouve également son lit. Il regarde l’aménagement : les stores vénitiens qui ont connu des jours meilleurs, la couverture en patchwork, le canapé, les commodes, les tableaux accrochés au mur, le parquet en lattes de bois très large, le coin cuisine à l’américaine, le fauteuil et le tapis. Un peu plus tard, Maturin et Bosco vont travailler comme manutentionnaires sur le port : les images montrent les installations techniques de l’entrepôt qui les emploie. Plus tard, Bosco et Myrtille passent la journée dans une immense fête foraine, avec des attractions bien détaillées qui donnent envie.

    Ce dosage entre éléments concrets et détaillés, et apparences vaporeuses maintient le lecteur dans l’incertitude quant à la nature du récit, entre drame léger et conte fantastique. Le pathos reste à un niveau très relatif, alors même que les personnages évoluent dans une situation sociale précaire. Le bateau de Maturin tombe en panne, celui de Bosco a été mis sous scellés et les voilà dans l’impossibilité de prendre la mer, et dans l’obligation de travailler à terre, pour un boulot d’une très forte pénibilité, et une paye très basse. Olive retrouve son copain en train d’embrasser une autre. Les relations entre Maturin et son père sont à l’antagonisme. Le frère d’Olive se raccroche à un espoir aussi fantaisiste qu’illusoire : une carte indiquant l’emplacement d’une épave de bateau dont les soutes contiendraient un trésor. Il n’y a pas de résolution miraculeuse, même s’il s’agit d’une histoire à chute. Ces individus doivent confronter leurs rêves et leurs aspirations, à la réalité et aux contraintes économiques, à leur faible valeur en tant que membre de l’écosystème professionnel. Le lecteur se sent plus ou moins touché par leur situation, en fonction de sa sensibilité. Il peut y voir une forme de métaphore avec d’autres métiers passion qui ne nourrissent par leur homme, ou leur femme, ou leur créateur et créatrice quand il s’agit d’auteurs de bande dessinée par exemple. La scène des deux dernières pages vient modifier la perspective du récit de manière significative, modifiant le dosage entre réalité et conte.

    Popeye est tombé dans le domaine public et les auteurs peuvent maintenant l’interpréter comme ils le souhaitent, en proposer leur révision, en faire la métaphore de questions d’actualité. Le scénariste a choisi de raconter la vie quotidienne de Maturin au premier degré, dans une crise de l’industrie de la pèche, obligeant les indépendants à se tourner vers les grosses entreprises pour assurer un revenu permettant de vivre. La narration visuelle opte de naviguer entre réalisme concret et licence poétique propre aux contes. Le lecteur ressent bien la difficulté pour ces personnages de reconnaître la réalité de leurs perspectives professionnelles très limitées, de se résigner à abandonner leur vocation, le mode de vie qui contente leurs aspirations profondes. L’arrivée d’un nouveau personnage dans la conclusion vient modifier la perspective de cette situation, en ramenant une dose d’imaginaire dans leur vie.

Meilleurs commentaires provenant d’autres pays

Traduire tous les commentaires en français
  • Cliente de Kindle
    1,0 sur 5 étoiles INFAME
    Avis laissé en Espagne le 10 janvier 2025
    Han destrozado el cómic original!
    Signaler