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Valérian - Tome 13 - Sur les frontières Broché – Illustré, 19 avril 2017
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De la Tunisie à la Laponie et à l’Urss, Valérian et Laureline ne cessent de voir du pays. Mais pas pour faire du tourisme : un ex-agent spatio-temporel tente de faire revivre Galaxity, l’ancienne capitale de la terre rayée de la carte, sur fond de terrorisme nucléaire et de trafics en tout genre. Moralité : on ne peut réécrire l’Histoire, « ce qui compte c’est la confiance en l’avenir ».
- Nombre de pages de l'édition imprimée64 pages
- LangueFrançais
- ÉditeurDARGAUD
- Date de publication19 avril 2017
- Dimensions22.5 x 1 x 29.8 cm
- ISBN-102205046659
- ISBN-13978-2205046656
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Description du produit
Biographie de l'auteur
Jean-Claude Mézières est né en 1938 à Paris. Il grandit à Saint-Mandé, une ville de banlieue située à l'est de la capitale. En 1944, alors qu'il s'est réfugié avec ses parents dans la cave d'un immeuble afin d'échapper aux bombardements allemands, il fait la connaissance d'un enfant de son âge nommé Pierre Christin. Une amitié pour la vie est née. Les deux garçons ne se contenteront pas de jouer ensemble dans le bois de Vincennes. Ils se découvriront bientôt une passion commune pour la science-fiction et les « illustrés », comme on appelle encore les bandes dessinées. Jean-Claude dévore l'hebdomadaire « O.K », les aventures d'Arys Buck dessinées par Albert Uderzo et « Le Lotus bleu », l'album de Tintin que lui a offert sa marraine à l'occasion de ses dix ans. De Tintin à Spirou. Lecteur régulier de l'hebdomadaire « Tintin », il le délaisse cependant pour le remplacer par « Spirou », dans lequel flotte un parfum de liberté qui contraste avec l'esprit de sérieux de son concurrent. Il est fasciné par « Les Chapeaux noirs », une aventure de Spirou et Fantasio en forme de western fantaisiste signée par André Franquin. Les histoires de cow-boys et les plaines d'Amérique nourrissent les rêves du jeune Jean-Claude depuis qu'il a vu, dans un cinéma de province, un film du Lone Ranger, le justicier masqué. Rien d'étonnant s'il écrit et dessine, à l'âge de 15 ans, un western de 16 planches intitulé « La Grande Poursuite », hommage aussi enthousiaste que juvénile au graphisme de Franquin et aux « Chapeaux noirs ». Il en enverra même un exemplaire à Hergé, lequel ne prendra pas la peine de le publier, au grand regret du jeune Jean-Claude qui devra se contenter d'une lettre signée par le créateur de Tintin... Ses premiers pas dans la bande dessinée. Plus motivé par le dessin que par l'enseignement scolaire classique, Jean-Claude Mézières intègre en 1954 l'école des Arts appliqués à l'industrie et au commerce, surnommée « Les Arts'a ». Il est inscrit dans la section « Tissus et papiers peints ». Il devient copain avec les deux seuls élèves qui s'intéressent à ce que l'on n'appelle pas encore le « 9 art » : Patrick « Pat » Mallet et un certain Jean Giraud, avec lequel il sèche des cours trop souvent ennuyeux pour se réfugier dans les salles de cinéma des grands boulevards parisiens. En octobre 1955, il publie sa première bande dessinée. Un western, forcément... L'histoire, intitulée « Bill le shériff », paraît dans l'hebdomadaire « Coeurs vaillants » édité par le groupe Fleurus. En 1957, il s'offre un séjour à Bruxelles avec Pat Mallet pour rencontrer son idole, André Franquin. En mars 1958, sur le conseil de Franquin, les deux apprentis dessinateurs, accompagnés de Jean Giraud, rendent visite à Joseph Gillain, alias Jijé. Celui-ci est l'auteur des aventures du cow-boy Jerry Spring, dont Jean-Claude est un lecteur passionné. Jean-Claude Mézières, cow-boy et dessinateur. Mais s'il rêve toujours d'Amérique - au point d'envisager, avec l'ami Giraud, un voyage en bateau vers New York, qui restera à l'état de fantasme -, le jeune Mézières devra encore attendre pour franchir l'océan Atlantique. En octobre 1958, il part pour le service militaire, d'abord en métropole puis en Algérie. Il en reviendra avec de solides convictions antimilitaristes. Rendu à la vie civile en janvier 1961, il répond à une petite annonce du quotidien « Le Figaro ». Le voilà engagé par Hachette pour travailler, comme maquettiste puis illustrateur, sur la collection « Histoire des civilisations ». En 1963, il devient assistant-photographe dans le studio de publicité de Benoît Gillain, l'un des fils de Jijé. S'il a renoncé à ses envies de bande dessinée, il n'a pas renoncé à un destin de cow-boy. En juin 1965, il s'envole enfin pour les Etats-Unis. Il bourlingue de Seattle au Montana et à San Francisco, puis il est hébergé par son copain Pierre Christin, qui enseigne le surréalisme et la « Nouvelle Vague » à l'université de Salt Lake City. L'une des élèves de Christin, prénommée Linda, deviendra d'ailleurs l'épouse de Jean-Claude et la mère de leur fille, Emily. Il place quelques dessins dans « The Children's Friend », une sorte de « Coeurs vaillants » mormon. Jusqu'au jour où Christin lui propose de revenir à la bande dessinée et de lui écrire un scénario. Ils réalisent ensemble deux histoires courtes, « Le Rhum du Punch » et « Comment réussir en affaires en se donnant un mal fou ! », publiées dans l'hebdomadaire « Pilote » en mars et juillet 1966 grâce à l'entremise de Jean Giraud. Ce qui ne l'empêche pas de se frotter à la dure - mais exaltante ? réalité de la vie de cow-boy au Dugout ranch, dans l'Utah. Naissance de Valérian... et de Laureline ! En septembre 1966, Jean-Claude Mézières rentre en France. Après avoir rencontré René Goscinny et Jean-Michel Charlier, les deux rédacteurs en chef de Pilote, il dessine une troisième histoire écrite par Christin, « Le chemin de l'enfer est pavé de bonnes intentions », et un scénario de Fred, le créateur de « Philémon ». Puis il propose à Pierre Christin d'entamer une collaboration durable avec une série au long cours dont ils seraient les auteurs. Le 9 novembre 1967, dans « Pilote », Valérian et Laureline, agents spatio-temporels de Galaxity, entrent en scène avec une aventure de trente planches, « Valérian contre les mauvais rêves ». Christin signe « Linus », clin d'oeil aux Peanuts de Charles Schulz, tandis que Mézières signe « Jc. Mézi ». On aurait pu attendre Jean-Claude sur le terrain du western, sa passion de toujours, mais le secteur est déjà bien encombré entre Lucky Luke, Jerry Spring et Blueberry, alors que la science-fiction est un territoire presque vierge et riche de possibilités. En ce milieu des années 1960, Mézières et Christin auraient sans doute ouvert de grands yeux incrédules si quelqu'un leur avait prédit que leurs héros sillonneraient l'espace-temps tout au long de 25 albums et que leurs aventures serait traduites en une vingtaine de langues. Le réalisateur américain George Lucas ne manquera pas de leur rendre hommage à sa manière avec la saga de « Star Wars », dont certaines scènes semblent avoir été pour le moins inspirées par « Valérian »... Mézières, au-delà de « Valérian »... S'il est l'homme d'une seule série, à l'instar de Morris et de son Lucky Luke, Jean-Claude Mézières a publié des bandes dessinées dans plusieurs magazines spécialisés, de « Métal Hurlant » à « Fluide glacial » et « (À Suivre) », ainsi que des illustrations dans la presse généraliste, des affiches pour des festivals ou des sérigraphies. En 1985, il s'embarque dans une tournée des ports d'Europe en compagnie de Pierre Christin, sur les traces d'une femme mystérieuse qui deviendra l'héroïne d'un récit illustré, « Lady Polaris », publié en 1987 par les éditions Autrement. JeanClaude Mézières a aussi travaillé pour le cinéma, dessinant des décors et des costumes pour « Un dieu rebelle », un film de Peter Fleischmann, et pour « Le Cinquième Élément » de Luc Besson, auquel il a donné l'idée des taxis volants. Une sélection de ces divers travaux a donné lieu à deux recueils d'images, « Les Extras de Mézières », édités par Dargaud en 1995 puis 1998. C'est ce même Luc Besson, admirateur de Valérian et amoureux de Laureline depuis ses dix ans, qui portera à l'écran la série de Mézières et Christin (dont les couleurs sont réalisées par Évelyne Tranlé, la soeur de Jean-Claude) en 2017 avec « Valérian et la Cité des mille planètes », inspiré par l'album « L'Ambassadeur des Ombres ». En 2004, pour célébrer le label de « Capitale européenne de la culture » attribué à la ville de Lille, le dessinateur imagine un « Chemin des Étoiles » dans la rue Faidherbe, sous la forme de quatorze tours spectaculaires symbolisant une piste de décollage vers l'espace. Récompensé par le Grand Prix de la ville d'Angoulême en 1984, mais aussi par un Inkpot Award au ComicCon de San Diego en 2006 et par le prix Max und Moritz au salon d'Erlangen en 2018, Jean-Claude Mézières n'aura cessé de faire rêver ses lecteurs et d'inspirer ses confrères dessinateurs à travers une oeuvre entremêlant la science-fiction et l'imagination, la fantaisie et la modestie, sans oublier une curiosité toujours bienveillante pour « l'autre », qu'il soit humain ou extraterrestre. Le réalisateur Avril Tembouret lui a consacré un film documentaire, « L'Histoire de la page 52 », qui retrace la conception d'une planche d'une aventure de Valérian et Laureline. En septembre 2021, les éditions Dargaud lui ont rendu hommage avec « L'Art de Mézières », un livre illustré qui passe en revue son parcours de dessinateur, depuis ses dessins d'enfance inédits jusqu'à ses réalisations les plus récentes. Un bilan graphique que Jean-Claude, dans le dossier adressé à la presse, résumait d'une pirouette tristement prémonitoire : « On fait le ménage et on s'en va ! Il s'agit bien évidemment de mon ultime livre. À 83 ans, il vaut mieux fermer la porte et se retirer sans faire trop de bruit... » En 2006, Le ComicCon de San Diego, aux États-Unis, lui décerne un Inkpot Award. Traduite en une vingtaine de langues, Valérian fut rapidement considérée comme une série d'avant-garde et a inspiré de nombreux auteurs et des réalisateurs dont Georges Lucas et, bien entendu, Luc Besson qui a réalisé une adaptation au cinéma en juillet 2017 : "Valérian et la Cité des mille planètes". La boucle est bouclée, Mézières et son complice de toujours sont en route pour de nouvelles aventures...
Détails sur le produit
- Éditeur : DARGAUD
- Date de publication : 19 avril 2017
- Édition : Illustrated
- Langue : Français
- Nombre de pages de l'édition imprimée : 64 pages
- ISBN-10 : 2205046659
- ISBN-13 : 978-2205046656
- Poids de l'article : 474 g
- Dimensions : 22.5 x 1 x 29.8 cm
- Fait partie de la série : Valérian
- Classement des meilleures ventes d'Amazon : 430 775 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)
- 1 765 en BD Science-fiction
- 35 972 en Personnages scientifiques (Livres)
- Commentaires client :
À propos de l'auteur

Après des études à la Sorbonne et à l’Institut d’études politiques de Paris, Pierre Christin écrit en I967 le premier épisode de Valérian pour son ami d’enfance Jean-Claude Mézières. C’est aussi l’année où il crée ce qui deviendra l’école de journalisme de Bordeaux et entreprend une thèse de doctorat sur le fait divers. Il collabore à Pilote où il travaille avec les plus grands noms de la bande dessinée (Tardi, Boucq et beaucoup d’autres), signant quelques-uns des classiques du genre comme les Phalanges de l’Ordre noir et Partie de chasse avec Enki Bilal, ou la Demoiselle de la Légion d’honneur avec Annie Goetzinger. Grand voyageur, aussi bien autour du monde qu’autour de Paris, passionné par les mégapoles comme par les déserts, il écrit également scénarios de films (Bunker Palace Hôtel), romans (l’Or du zinc) ainsi que de nombreux livres illustrés, notamment pour la collection “ les Correspondances de Pierre Christin ” (avec P. Lesueur, J. Ferrandez, J.-C. Denis, A. Lemoine, M. Cabanes, chez Dargaud).
Commentaires client
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- Avis laissé en France le 1 octobre 2010Trois ans après le dernier album, Valérian est de retour. Avant de commencer, le doute saisit le lecteur avide. Alors que « Les Foudres d'Hypsis » représentait une conclusion réussie de la série dans son ensemble, Christin et Mézières remettent le couvert avec « Sur les Frontières », et l'entreprise sent l'opération commerciale. Quelle erreur. Dès la première image de ce vaisseau de croisière spatiale, on est transporté ailleurs. La multiplication des espèces, animaux, créatures qui peuplent ce bateau laisse bouche bée ainsi que, soyons franc, les quatorze premières pages de cet album. On prend un coup de poing dans la figure, et même les blasés de la science-fiction seront impressionnés. Difficile de tenir à ce niveau, mais pourtant les deux auteurs y parviennent en nous offrant une sorte de James Bond à connotation spatio-temporelle : il y a un peu de « Casino Royale » dans ce Valérian et le contraste avec la première partie n'en est que plus réussi. Pierre Christin retrouve une inspiration scénaristique qui s'était un peu perdue, et il arrive encore et toujours à renouveler ses personnages et ses intrigues. Peu de séries peuvent en dire autant après vingt ans. On a déjà beaucoup parlé du dessin de Mézières. Comme d'habitude, il se surpasse dans le space opera, mais on peut aussi compter sur lui pour l'intimisme. Les adieux de Monsieur Albert à Valérian sont extrêmement émouvants et son travail, toujours méticuleux et aussi toujours aéré, est tout simplement exceptionnel. Une BD d'anthologie, en somme.
- Avis laissé en France le 14 mai 2018TRES BON ÉTAT , UNE BD QUE J'AIME PARTICULIÈREMENT, ENVOI RAPIDE ET EN TRES BON ÉTAT , JE SUIS RAVI
SATISFAIT
- Avis laissé en France le 31 janvier 2019Un des tous meilleurs albums de la série amha. Les auteurs arrivent à rebondir à merveille après la conclusion des Foudres d'Hypsis qui semblait tuer la série. Cette album démarre dans le genre space opera d'une façon étourdissante puis l'intrigue se développe sur notre bonne vieille Terre avec des considérations géopolitiques à travers le monde et une bonne dose d'espionnage. Les nouveaux personnages et nouvelles "créatures" sont très bien trouvés, l'imagination de Mézières ne tarit pas !
La fin de l'album est elle aussi très réussie avec une image finale qui est restée imprimé dans ma mémoire depuis mon adolescence.
- Avis laissé en France le 7 mars 2019Achat conforme à ce que j'attendais sans plus
- Avis laissé en France le 14 septembre 2014Les albums de Valérian et Laureline ont en général 48 planches. Celle-ci en a 64. Mais je n'ai jamais réussi à télécharger plus que les 48 premières planches, au point que je doutais de ma mémoire. Quelqu'un m'a prêté un exemplaire numérique complet (pas Amazon Kindle) et j'ai pu vérifier. Nul n'est infaillible, certes. La maison Dargaud devrait refaire un fichier complet, ça ne fait pas sérieux.
Sur le fond (la qualité de l'oeuvre), je suis d'accord avec Autonome (5 étoiles). C'est le début du deuxième cycle: grand retour dans les lieux déjà connus, les images qu'on a en mémoire. J'aime beaucoup. Mais le "nouveau" devra d'abord lire les douze premiers pour prendre plaisir à celui-ci.
- Avis laissé en France le 20 août 2017« Sur les frontières », publié pendant la Perestroïka parvient à tirer partie des événements « historiques » en cours, Tchernobyl, tensions sur les frontières, premières crises liées à l’islamisme pour les intégrer astucieusement dans la saga des aventures de Valérian.
Galaxity n’existe plus, Valérian et Laureline sont perdus sur Terre à la fin des années 1980, mais le retour de Jal, un autre agent « oublié » relance le besoin d’action de nos héros jusqu’à les conduire à nouveau sur Point Central.
Atypique dans la série, ce 13e album ressemble parfois à un James Bond : mercenaires, espionnage et secrets d’état côtoient ceux de l’espace-temps. Un album très réussi !
- Avis laissé en France le 26 novembre 2009ce volume est assez bon, il a principalement pour cadre la terre du 20ème siècle, mais on voit sans déplaisir nos deux aventuriers repartir enfin vers les étoiles dans les volumes qui suivent.
- Avis laissé en France le 9 octobre 2022Offert pour un anniversaire pour compléter une collection. Cadeau très apprécié.
Meilleurs commentaires provenant d’autres pays
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JLVAvis laissé au Royaume-Uni le 14 juin 2017
1,0 sur 5 étoiles Not complete, 5 pages missing, Amazon did not reply to my requests.
Excellent Valerian, but not complete, the last 5 pages are missing. Unbelievable. I wrote twice to Amazon, and no reply!!!!
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Red River denizenAvis laissé aux États-Unis le 21 mars 2016
5,0 sur 5 étoiles this was perfect.
What can I say, this was perfect.
-
QuinbusAvis laissé aux États-Unis le 24 septembre 2017
3,0 sur 5 étoiles Not Their Best
One of the later Valerian stories. By this time the series was getting a bit long in the tooth.