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Oblivion song T01 Broché – Illustré, 7 mars 2018
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- Nombre de pages de l'édition imprimée160 pages
- LangueFrançais
- ÉditeurDelcourt
- Date de publication7 mars 2018
- Dimensions19 x 2 x 28.3 cm
- ISBN-102413007504
- ISBN-13978-2413007500
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Description du produit
Biographie de l'auteur
Détails sur le produit
- Éditeur : Delcourt
- Date de publication : 7 mars 2018
- Édition : Illustrated
- Langue : Français
- Nombre de pages de l'édition imprimée : 160 pages
- ISBN-10 : 2413007504
- ISBN-13 : 978-2413007500
- Poids de l'article : 796 g
- Dimensions : 19 x 2 x 28.3 cm
- Classement des meilleures ventes d'Amazon : 318 445 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)
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- Avis laissé en France le 12 mars 2018Formater: BrochéAchat vérifiéje trouvé le prix cher pour une bd mais vu son épaisseur j'ai tout de suite compris. les dessin sont beaux mais un peu brouillon des fois et l'histoire est génial. en série ça serait vraiment bon. je ne suis pas trop bd mais celle la j'adore. j'attend avec impatience le tome 2 qui doit sortir fin d'année. bonne lecture a vous
- Avis laissé en France le 18 mai 2020Formater: Format KindleAchat vérifiéJ'adore le thème des dimensions parallèles et je trouve que Robert l'a très bien exploite dans cette BD. Il a quand même certains trai de Walking Dead
- Avis laissé en France le 18 avril 2018Formater: BrochéAchat vérifiéPlutot fan du style graphique, l'histoire se met en place et on attend avec impatience la suite. A posséder !
- Avis laissé en France le 21 novembre 2019Formater: BrochéAchat vérifiéOui mais non ....
Beau ,bien fini , bonnes idées , ... mais :
Le scénario part déjà dans tous les sens dès la page 4 .
Trop d'intrigues en mm tps .
Les rebondissements sont téléphoné.
Trop de questions sans réponses ou sans explications succinctes .
Je l'ai lu d'une traite , en me disant " c'est tjs mieux en une fois " . Résultat , je reste sur ma faim ( et fort ) .
La suite , ça va finir en eau de boudin , fini plié en 2-2 avec une fin à la Lost .
Ça restera un tome unique .
A vouloir trop faire , tout n'est pas bien fait .
Je vais attendre patiemment Walking Dead 33 et finir Invicible en paix ...
- Avis laissé en France le 13 mars 2019Formater: BrochéAchat vérifiéles dessins sont trop grands et trop sombre,j ai pas aimee du tout
- Avis laissé en France le 27 octobre 2018Formater: BrochéBénéficiant d’une publicité impressionnante, avec « lancement exclusif en Europe, avant même les USA ! », la nouvelle série de Robert Kirkman était annoncée comme « incontournable ». Le créateur de « Walking Dead » pouvait-il donc faire mieux après sa saga culte, d’ailleurs toujours pas arrivée à son terme ? Avec « Oblivion Song », Kirkman semble cultiver sa marque de fabrique, une certaine attirance pour les mondes en déliquescence, dont l’historique permettant d’en connaître la cause n’est jamais révélé.
Ce premier épisode, qui démarre sur des chapeaux de roue, met vite dans l’ambiance, même si on ne comprend pas d’emblée qui sont et ce que font les différents protagonistes. Pourtant, tout va se mettre assez vite en place dès les premières pages, et c’est bien là que réside le talent narratif de l’auteur américain qui par ailleurs ne néglige jamais l’aspect psychologique de ses personnages - même si à ce stade, il est un peu tôt pour s’y attacher. Avec ses créatures difformes et dépourvues d’yeux, Robert Kirkman cherche visiblement à renouer avec le côté horrifique qui caractérise « Walking Dead ». Mais là où la série à zombies possédait ce côté « crédible », plus terre-à-terre, ce nouveau récit peine à véritablement convaincre, restant tout au plus intrigant. Cette dimension parallèle, sorte d’organisme géant qui a comme absorbé une partie de la ville de Philadelphie, confère au scénario une tonalité SF qui cadre mal avec le contexte contemporain, tout comme l’invention utilisée par le héros Nathan Cole pour conduire sa mission, des balles « téléportantes » destinées à ramener les gens dans le monde « réel ».
De même, ceux qui comme moi appréciaient la « lenteur » de « Walking Dead » risquent de souffrir de la mise en page nerveuse et peu fluide réservée aux scènes d’action, potentiellement source de confusion. Quant à l’Italien Lorenzo De Felici, il remplit parfaitement le cahier des charges avec son dessin clairement orienté « comics ». Propre et sans bavure, à la limite presque trop lisse, il colle au spectaculaire caractérisant l’histoire, mais ne se distingue guère du style en vigueur pour le genre. Toutefois, un des points positifs, et le plus troublant aussi, qui du coup ancre le récit dans notre début de siècle, est un personnage de femme : la compagne d’Ed (le frère de Nathan), d’apparence masculine, plus baraquée que ce dernier si bien qu’elle lui sert aussi de garde du corps !
« Oblivion Song » bénéficie d’un scénario intéressant sans être renversant, avec un bon gros mystère semi-apocalyptique façon bubble-gum psychédélique qui pourra accrocher certains. Il est vrai qu’on aimerait tout de même bien savoir (ce) qui se cache derrière cette guerre inédite des dimensions. Après une introduction en demi-teinte, le deuxième volet sera à coup sûr décisif quant à la capacité de cette nouvelle œuvre du maître es zombies à provoquer un réel engouement du public.
- Avis laissé en France le 27 septembre 2021Formater: BrochéIl s'agit du premier tome d'une série indépendante de toute autre, et complète en 6 tomes, soit 36 épisodes. Celui-ci regroupe les épisodes 1 à 6, initialement parus en 2018, écrits par Robert Kirkman, dessinés et encrés par Lorenzo De Felici, et mis en couleurs par Annalisa Leoni.
Dans une portion dévastée de Philadelphie, Patricia et Thomas Crenshaw sont en train de courir le plus vite possible, fuyant quelque chose qui se trouve derrière eux et qui les poursuit. Les immeubles sont à moitié détruits et certains recouverts par une substance informe tenant aussi bien de la chair que de la plante. Perché sur le toit d'un kiosque, un homme avec une cape à capuche les tient en joue avec un gros fusil. Il fait feu et une fléchette d'alignement se plante dans l'omoplate droite de l'homme. Elle émet un bip, et il disparaît. La femme arrête de courir et cherche à savoir ce qu'il est advenu de son époux. La silhouette encapuchonnée en profite et s'apprête à tirer une seconde fois : il n'en a pas le temps car un gros monstre déboule, bousculant tout sur son passage, pulvérisant le kiosque. Patricia Crenshaw se remet à courir. Le tireur se redresse et tire atteignant la femme à l'épaule droite : la fléchette bipe et elle disparaît alors qu'elle allait se faire happer par le monstre. Celui-ci se retourne et voit le tireur Nathan Cole. Il s'élance vers lui, alors que l'homme se rend compte que l'interrupteur sur sa ceinture ne fonctionne pas. Il se met à courir pour se mettre à l'abri et tripote l'interrupteur jusqu'à temps qu'il se déclenche.
Nathan Cole réapparaît sur Terre dans la zone où se trouvait il y a dix ans le quartier de Philadelphie qui a disparu. Duncan et Heather sont en train de finir de maîtriser Patricia Crenshaw, folle d'inquiétude pour son époux, et certaine qu'ils sont responsables de son état. Une fois qu'elle s'est endormie sous l'effet du sédatif, Nathan Cole explique à ses collègues que la ceinture a connu un dysfonctionnement. Ils rentrent à leur base, et allongent les époux sur un lit, puis contactent les autorités de la ville. Quelques temps plus tard, Nathan Cole attend à l'extérieur de la chambre d'hôpital où se trouvent les Crenshaw qui reçoivent la visite de la fille de Patricia, et son mari. La fille sort et le remercie. La nuit venue, un prédicateur se tient devant le monument du souvenir sur lequel sont gravés les noms des trois cent mille disparus, indiquant aux deux passants présents que Dieu a envoyé ces habitants en enfer. Dans la pénombre, Nathan Cole raye le nom de Patricia et Thomas Crenshaw du mur. Puis il se rend dans un bar pour boire une bière ou deux. La télévision est allumée et le journaliste commente le retour des époux Crenshaw disparus dans Oblivion il y a dix ans, comme les autres lors du Transfert. Il interviewe le frère de Thomas : celui-ci avait pensé que son frère et son épouse étaient décédés, tués par un monstre dans Oblivion, et il avait pris en charge leurs enfants pour les élever. Nathan se lève et sort, il croise Lucy et son copain en sortant.
Inutile de présenter Robert Kirkman, scénariste des séries Invincible (2003-2018, 144 épisodes) avec Cory Walker & Ryan Ottley, et The Walking Dead (2003-2019, 196 épisodes) avec Tony Moore & Charlie Adlard. Si comme beaucoup d’autres lecteurs, il est tombé sous le charme de l'une ou de ces deux séries au long cours, il n'a pas pu résister à la tentation de tester ses séries ultérieures : Outcast (2014-2021, terminé en 48 épisodes) avec Paul Azaceta & Elizabeth Breitweiser, Die!Die!Die! commencée en 2018 avec Scott M. Gimple & Chris Burnham, Fire Power commencée en 2020 avec Chris Samnee. Il débute cette série avec une séquence d'action qui permet à l'artiste de montrer ce dont il est capable. Dans cette scène d'ouverture de 11 pages, le dessinateur met en place les caractéristiques de base de cette terre alternative sur laquelle s'est retrouvé un gros quartier de Philadelphie. Sachant qu'il plonge dans une nouvelle série, le lecteur prête une attention particulière à ces pages ne comprenant que deux phylactères. Il peut ainsi voir l'état des bâtiments : majoritairement détruits, inhabitables, la chaussée défoncée, et la présence d'une flore invasive assez répugnante d'aspect. Il découvre également un premier monstre de grande taille, très réussi, qui n'aurait pas déparé dans la série BPRD de Mike Mignola. L'action est vive et parfaitement lisible, avec un enchaînement logique et cohérent des mouvements et des déplacements, en fonction des bâtiments dont la disposition relative est cohérente d'un angle de vue à l'autre, et un très bon niveau de détails. La mise en couleurs apporte un peu de relief et de texture à chaque élément, en faisant en sorte que chacun se distingue bien des autres contigus, avec une ambiance lumineuse un peu différente de celle de la Terre normale.
Le lecteur ressort donc de la première séquence avec une bonne impression sur le dessinateur. Elle se confirme par la suite. Lorenzo De Felici est vraiment très bon pour créer des monstres et le montrer en mouvement, faire ressortir leur altérité, ce qui les rend étrangers à la race humaine, et même au règne animal de la Terre. Il ne leur donne pas de comportement anthropomorphique, restant dans le registre de gros animaux guidés par leur instinct, leur morphologie et leurs habitudes. Dans la deuxième moitié de l'aventure, Nathan Cole pénètre dans une autre partie de Philadelphie version Oblivion, l'artiste montrant un milieu très particulier, à nouveau très différent de la réalité normale, à la fois cohérent avec la partie détruite de la ville, les rescapés ayant réussi à s'installer. Il y a une logique et une intelligence dans leur installation, la manière dont elle s'intègre dans cet environnement si particulier, et comment ils y vivent. Ils voient passer d'autres monstres auxquels ils se sont plus ou moins habitués : le dessinateur fait la preuve qu'il sait concevoir plusieurs animaux monstrueux différents, tous réussis.
Une partie significative de l'histoire se déroule sur la Terre normale. L'artiste est tout aussi convaincant et à l'aise dans ces lieux : la base à moitié à l'abandon dans la zone ayant subi le Transfert, la chambre d'hôpital, le mur du souvenir avec le nom des disparus, le bar, les marches de l'escalier menant à l'entrée du palais de justice, le musée national du Transfert, l'appartement de Nathan Cole, une terrasse de café, un local de stockage, le couloir menant à l'appartement de Duncan et Bridget. Il se montre aussi à l'aise dans les séquences d'action que dans les interactions en civil, sachant insuffler du naturel dans les personnages, avec un jeu d'acteur expressif sans être exagéré, dans une narration visuelle qui apporte beaucoup d'informations, et qui donnent à voir les éléments du scénario, les rendant concrets et consistants.
Le lecteur attend forcément beaucoup d'un auteur comme robert Kirkman, aussi bien une narration fluide et claire, une lecture agréable, un suspense accrocheur, et des thématiques discrètes mais bien présentes. Il n'est pas déçu. Le scénariste s'en tient pour l'instant à une distribution réduite de personnages, centrée sur Nathan Cole, avec ses deux collègues Bridget et Duncan, sa compagne Heather, le couple Patricia & Thomas Crenshaw (à voir s'ils seront toujours là par la suite), et essentiellement trois personnages dans la réalité Oblivion. Il développe essentiellement l'histoire personnelle de Nathan Cole, avec de grosses surprises, lui donnant une belle épaisseur psychologique et le rendant sympathique et tragique pour le lecteur. Il développe quelques liens émotionnels entre comédie dramatique et comédie de situation, à voir comment ils évolueront par la suite. La dynamique de l'intrigue repose sur l'exploration d'un nouveau monde hostile, le risque que le gouvernement mette un terme au financement de ces explorations, et bien sûr au mystère quant à la disparition de ces trois cent mille habitants de Philadelphie avec les constructions de ces quartiers de la ville. Le suspense et le divertissement sont de qualité, et la lecture est très agréable.
S'il a déjà lu la série la plus célèbre de cet auteur, le lecteur se rend compte qu'il éprouve la sensation que Nathan Cole pourrait très bien être à la recherche des survivants de l'apocalypse zombie dans cette autre Terre, une impression amusante de voir l'autre facette, celle des proches restés dans la normalité, qui n'ont pas été soumis à l'effondrement de la civilisation. Il se rend également compte que Kirkman rend hommage à sa manière aux victimes des attentats du 11 septembre 2001. Il y a la liste des noms des disparus, et encore beaucoup plus émouvant, la visite du mémorial des disparus qui génère des émotions similaires à celle du musée du 11 septembre, avec les témoignages vidéo, le reste d'un véhicule coupé en deux (en lieu et place des restes calcinés par les incendies des tours), et le gigantesque artefact occupant toute la place de la plus grande salle d'une hauteur de deux étages, un choc visuel intense. Alors que l'histoire avance, il apparaît un thème assez classique : il n'est pas possible de faire le bonheur des gens malgré eux, que ce soient les survivants rapatriés sur la Terre, ou que ce soient les survivants dans le monde d'Oblivion. Pour ces derniers, le lecteur peut y voir les conséquences des troubles de stress post traumatique : une épreuve qui transforme les individus sans que leurs proches ne puissent imaginer son impact, ne puissent se projeter pour intérioriser les effets et les conséquences d'un tel traumatisme.
Par la force des choses, le lecteur entame cette série avec de gros a priori et un horizon d'attente très élevé, parce qu'elle est écrite par Robert Kirkman. Il commence par apprécier les qualités de l'artiste, très bon narrateur, et créateur remarquable de monstres, avec une narration visuelle détaillée, fluide et consistante. Il se rend compte que les auteurs ont capté son attention dès la première séquence et qu'il s'investit dans sa lecture pour ne rien rater, et parce qu'elle est passionnante et divertissante dès les premières pages. Il est vite conquis par un personnage principal sympathique et complexe, une intrigue pleine de mystère, des scènes d'action enlevées, et des thématiques discrètes et prenantes.
Meilleurs commentaires provenant d’autres pays
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carl valkAvis laissé au Royaume-Uni le 26 avril 2018
5,0 sur 5 étoiles grest
Formater: BrochéAchat vérifiéGood srrvice