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La famille Fun Broché – Illustré, 8 novembre 2016
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Robert Fun est un dessinateur à succès, auteur de l'illustre comic strip La Famille Fun, publié par toute la presse depuis des années. Il y célèbre la famille américaine à travers des saynètes largement inspirées de son quotidien, avec son épouse, la parfaite Marsha, et leurs quatre enfants modèles, Robby, Molly, Mikey et J.T. Mais derrière ce bonheur de façade se dissimulent de profondes fêlures. A la mort de la mère de Robert, l'édifice se craquelle et la famille Fun commence à se décomposer.- Nombre de pages de l'édition imprimée236 pages
- LangueFrançais
- ÉditeurEditions ça et là
- Date de publication8 novembre 2016
- Dimensions16.5 x 2.2 x 23.2 cm
- ISBN-102369902310
- ISBN-13978-2369902317
Description du produit
Revue de presse
« Un chef-d’œuvre d’humour aussi noir que grinçant. Ce qui est génial, c’est l’utilisation à contre-emploi d’un style aussi cartoonesque et gentil mis au service de la narration d’horreurs. Bref, Du grand art. »Rock&Folk
" Une attaque extrêmement virulente contre un certain conformisme, une hypocrisie répandue au sein de la middle class made in USA. Le message passe remarquablement, ce qui est d’autant plus admirable que la violence du propos de Frisch contraste avec la rondeur de ses dessins." dBD
" Benjamin Frisch fait la peau au rêve américain... Une fable très étonnante et amère." Les Inrockuptibles
" Assurément, ce jeune américain à trouvé un ton singulier et s’avère un auteur à suivre." Zoo
"L’american way of life dans toute sa splendeur. En fait, ne vous y fiez pas, dans quelques secondes, ce paradis va se transformer en Beyrouth" Casemate
" Un moraliste est né. Réjouissons-nous, son humour est aussi raffiné que son pessimisme ". Trois Couleurs
Biographie de l'auteur
Détails sur le produit
- Éditeur : Editions ça et là
- Date de publication : 8 novembre 2016
- Édition : Illustrated
- Langue : Français
- Nombre de pages de l'édition imprimée : 236 pages
- ISBN-10 : 2369902310
- ISBN-13 : 978-2369902317
- Poids de l'article : 666 g
- Dimensions : 16.5 x 2.2 x 23.2 cm
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Commentaires client
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- Avis laissé en France le 15 avril 2017Surtout, ne vous fiez pas au graphisme typiquement « cartoon » de cette BD qui semble s’adresser aux enfants de sept ans ! Et si le titre vous laisse penser que vous allez vous payer une bonne tranche de rigolade, ce n’est peut-être pas tout à fait de la façon que vous imaginez… Car sous ses atours bien trop lisses pour être honnêtes, « La Famille Fun » comporte aussi un humour terriblement grinçant ! Comme si ses petits personnages tout en rondeur cherchaient à vous attendrir pour mieux vous déstabiliser ensuite…
A l’image de son auteur, car quand vous voyez Benjamin Frisch pour la première fois, vous lui donneriez le bon dieu sans confession. Et pour lui qui est américain, il ne risque pas de se faire beaucoup d’amis parmi les instances morales et religieuses de son pays, dont la bigoterie est proverbiale. A sa manière, Frisch se moque des codes sociaux et religieux en se livrant à un dézingage subversif - soft mais implacable - de la famille américaine type représentée par notre famille Fun. Et dans cette famille, la vie ne restera un long fleuve tranquille que pendant les trois premières pages, jusqu’à la mort de « Mamie Virginia ». A partir de là, tout va partir en vrille, le père Fun va sombrer dans la déprime, conduisant son épouse à quitter le foyer en emmenant avec elle la moitié des enfants, puis à goûter quasi outrageusement à sa liberté retrouvée. Du coup c’est Robert, le fils aîné mais encore haut comme trois pommes, qui va s’improviser chef de famille, préparer les repas, tenir la maison, et reprendre le job de dessinateur de son géniteur pour nourrir ce dernier et sa jeune sœur Molly, et qui plus est payer la pension alimentaire de la mère ! Et comme si tout cela ne suffisait pas, Molly se met à avoir des visions angéliques de la grand-mère tout juste décédée. Depuis l’au-delà, cette dernière va lui susurrer des paroles doucereuses qui vont en faire progressivement une fanatique, ne faisant qu’accentuer cette spirale de folie incontrôlable.
A la lecture, c’est à la fois étrange, hystérique, extravagant, cruel et jubilatoire. C’est surtout totalement imprévisible, et au final moins « fun » que désabusé voire pessimiste quant à la nature humaine. Benjamin Frisch ne se contente pas de saborder les valeurs familiales, mais s’en prend également à la religion et aux psychologues-gourous du développement personnel – apparemment une spécialité américaine -, en somme tout ce qui est susceptible de laver les cerveaux et générer les névroses les plus spectaculaires. Bref, l’objet a quelque chose d’inédit et c’est bien ce qu’on aime dans toute création artistique. Indubitablement, une première œuvre originale par un auteur à suivre.