Luna Cloud gaming - Play EA Games
Actuellement indisponible.
Nous ne savons pas quand cet article sera de nouveau approvisionné ni s'il le sera.
Image du logo de l'application Kindle

Téléchargez l'application Kindle gratuite et commencez à lire des livres Kindle instantanément sur votre smartphone, tablette ou ordinateur - aucun appareil Kindle n'est requis.

Lisez instantanément sur votre navigateur avec Kindle pour le Web.

Utilisation de l'appareil photo de votre téléphone portable - scannez le code ci-dessous et téléchargez l'application Kindle.

Code QR pour télécharger l'application Kindle

Suivre l'auteur

Une erreur est survenue. Veuillez renouveler votre requête plus tard.

Maggy Garrisson - tome 3 - Je ne voulais pas que ça finisse comme ça (Edition GLBD) Broché – 26 août 2016

4,7 sur 5 étoiles 9 évaluations

Il pleut encore sur les rues de Londres, et dans le portefeuille d'enquêtes de Maggy Garrisson, détective privée inventive et malicieuse, on trouve de surprenantes énigmes du quotidien : vols de dents en or sur les cadavres d'un crématorium, petits larcins dans la caisse d'une librairie, un album de photos à rendre à une famille... Rien d'insoluble pour la flegmatique jeune femme qui a bien besoin d'argent. Et pour plus d'action, elle pourra toujours compter sur son récent petit ami, petit malfrat au grand coeur... Loin des clichés du genre, Maggy Garrisson est une série policière contemporaine à l'ambiance toute british. Avec ce troisième tome, Lewis Trondheim et Stéphane Oiry livrent la fin du premier cycle d'un polar réaliste et pince-sans-rire. Un scénario à multiples facettes, des personnages attachants, un graphisme noir, les raisons ne manquent pas pour rejoindre Maggy au pub du coin !
Économisez 3 € sur les frais de livraison de livres
Choisissez le point de retrait éligible qui vous convient lors de la commande et profitez de la livraison gratuite de livres neufs expédiés par Amazon. En savoir plus

Description du produit

Biographie de l'auteur

Né en 1964, Lewis Trondheim passe une jeunesse sans histoire à Fontainebleau. Après avoir suivi des cours de graphisme publicitaire, il rencontre Jean-Christophe Menu lors d'un colloque et y découvre une autre manière de faire de la bande dessinée. Après avoir réalisé un fanzine en solitaire, il se joint à l'équipe la revue Labo, puis co-fonde en 1990, avec Menu, Stanislas, Mattt Konture, Killoffer et David B., L'Association, une maison d'édition qui va révolutionner le paysage européen. Prolifique et amateur de défi, Lewis Trondheim se lance dans une improvisation de 500 pages qui fait date "Lapinot et les carottes de Patagonie ". Dans ce pavé extraordinaire, le style Trondheim éclate au grand jour. Un style inspiré par son amour des grands classiques de la bande dessinée franco-belge, avec un trait animalier déstructurant Carl Barks ("Picsou ") ou Floyd Gottfredson ("Mickey Mouse "), un sens du dialogue aiguisé et une fantaisie feuilletonesque débridée. Dans la même veine de contraintes, il co-fonde l'OUvroir de BAnde dessinée POtentiel (Oubapo) en 1993 pour mieux se diriger ensuite vers des albums cartonnés couleurs chez Dargaud avec "Lapinot ". En 1997, il entame une série titanesque avec Joann Sfar : "Donjon ", une épopée à la fois comique et fantastique, quelque part entre le "Muppet Show " et "Conan le Barbare ". Puisque ses enfants sont désormais en âge de lire, Lewis Trondheim leur écrit des albums : "Monstrueux ", "Le Roi Catastrophe ", "Allez raconte... " et "Les trois chemins ". À L'Association, il continue à explorer des pistes plus expérimentales comme "Désoeuvré " un essai dessiné qui s'interroge sur le vieillissement des auteurs de bande dessinée. En 2005, il lance le label Shampooing aux Éditions Delcourt, une collection moderne et inventive. En 2006, Lewis Trondheim reçoit le Grand Prix à Angoulême et créé pour le festival "le Fauve ", sa mascotte officielle. A partir de 2008, il investit le Journal Spirou, où il crée la grande saga "Ralph Azham " et multiplie les nouvelles collaborations avec Guillaume Bianco ("Zizi Chauve-Souris "), Matthieu Bonhomme ("Omni-visibilis ", "Texas Cowboys ") ou Stéphane Oiry ("Maggy Garrisson "). Sans oublier la multicéphale série "L'atelier Mastodonte ", avec une douzaine d'auteurs. Dessinateur, scénariste, éditeur, dialoguiste hors pair, Lewis Trondheim est l'auteur d'une incroyable quantité de bandes dessinées, qui explorent la plupart des genres avec un enthousiasme débordant et une originalité précieuse.

Stéphane Oiry est né un premier avril (en 1970) à Nantes. La seconde bonne blague qu'il fit à ses parent est de choisir par la suite, le drôle de métier de dessinateur. Et si, selon le dicton, "les plaisanteries les plus courtes sont les meilleures", il n'a pourtant pas l'intention de s'arrêter. Il travaille pour le dessin animé ("La Mouche", "La Famille Bordemer"), la presse ("Le Monde"), l'édition jeunesse. En 2004, il fonde le magazine Capsule Cosmique dont il devient rédacteur en chef adjoint. Il est aussi auteur de bandes dessinées : "Les passe-murailles" avec Jean-Luc Cornette (éd. les humanoïdes associés), "Pauline et les loups garous", avec Appollo (éd. Futuropolis). Cofondateur du magazine de bande dessinée jeunesse Capsule cosmique, il enseigne l'illustration à l'École de Condé.

Détails sur le produit

  • Éditeur ‏ : ‎ Dupuis (26 août 2016)
  • Langue ‏ : ‎ Français
  • Broché ‏ : ‎ 48 pages
  • ISBN-10 ‏ : ‎ 2800170026
  • ISBN-13 ‏ : ‎ 978-2800170022
  • Dimensions ‏ : ‎ 24 x 1.1 x 32 cm
  • Commentaires client :
    4,7 sur 5 étoiles 9 évaluations

À propos de l'auteur

Suivez les auteurs pour obtenir de nouvelles mises à jour et des recommandations améliorées.
Lewis Trondheim
Brief content visible, double tap to read full content.
Full content visible, double tap to read brief content.

Né en 1964 à Fontainebleau, Lewis Trondheim passe son enfance à s’ennuyer et son adolescence à ne rien faire. En troisième, il entre dans un collège technique pour imiter son cousin. Ensuite, il fait une première E – sciences et mécanique, fraiseuse – où il se révèle tellement nul qu’on le rapatrie en philo-lettres. Armé d’un bac philo, il se lance dans la bande dessinée. Parce qu’il a envie de raconter des histoires et que, côté dessin, il a tout à apprendre. Par esprit de contradiction et curiosité scientifique, en somme. Vers 25 ans, armé d’une photocopieuse, il édite un fanzine tout seul, et tient douze numéros. Trouvant que l’art minimaliste a ses limites, il décide d’apprendre à dessiner et attaque les 500 pages de Lapinot et les carottes de Patagonie. En 1990, il fonde avec cinq autres dessinateurs la structure éditoriale l’Association. Puis il découvre qu’on peut gagner sa vie en faisant ce métier, quitte Paris pour le Sud, et entre chez Dargaud en 1995 avec Les Formidables Aventures de Lapinot. Coup de cœur d’Angoulême en 1994, il reçoit en 1996 le Totem de la bande dessinée au Salon de Montreuil.

Commentaires client

4,7 étoiles sur 5
9 évaluations globales

Évaluer ce produit

Partagez votre opinion avec les autres clients

Meilleures évaluations de France

  • Avis laissé en France le 24 mars 2021
    On ne peut que regretter l'arrêt de cette série tellement le graphisme est excellent , quand au dialogues et au déroulement de la trame , ils ne font que démontrer une nouvelle fois que Lewis Trondheim est un grand scénariste .
  • Avis laissé en France le 15 juin 2017
    Quand Lewis Trondheim s'essaie au genre codifié du polar, il le renouvelle avec le même brio que autrefois l'autobiographie et l'héroic-fantasy. Maggy Garrisson est un récit policier atypique, mené par une héroïne boudeuse et grande gueule attachante qui ressemble à la voisine de palier. Le scénario est un modèle d'écriture tant chaque élément est utile et sert le récit de façon inattendue.
    2 personnes ont trouvé cela utile
    Signaler
  • Avis laissé en France le 19 mai 2017
    Une excellente BD d'ambiance, construite autour de personnages bien campés. Jamais mièvre, fine, les pieds sur terre, Maggy est une héroïne très moderne et très attachante.
    Une personne a trouvé cela utile
    Signaler
  • Avis laissé en France le 22 janvier 2019
    Parfait, merci!
  • Avis laissé en France le 27 août 2016
    Lewis Trondheim, qui est un "poids lourd" de la BD d'expression française et Stéphane Oiry proposent avec ce troisième tome ce que l'éditeur désigne par la "fin d'un cycle" que l'on espère ne pas devoir traduire pas "fin de série". Le personnage principal de la londonienne Maggy Garrisson, qui n'est pas encore tout à fait entre deux âges mais qui n'est clairement plus préoccupée d'envoyer toutes les minutes des SMS à ses copines, nous est devenu en effet éminemment sympathique après les deux précédents tomes, 'Fais un sourire, Maggy' et 'L'homme qui est entré dans mon lit', qu'il vaut mieux avoir lus avant d'aborder ce 3è volet. Maggy vivote de petits boulots, dont l'un d'entre eux, le principal est d'être "assistante" occasionnelle de Mr. Wight, un détective privé de seconde zone. Une "assistante" en réalité fréquemment déterminante pour la bonne fin des missions trouvées par le privé. Mais surtout, depuis sa rencontre avec Alex - un type de son âge qui vit d'une activité de gros bras pour un chef de gang -, elle a mis la main illégalement sur une petite somme d'argent, aux nez à la barbe - s'y j'ose dire - de Shirley, une fliquette ripou. Maggy et Alex ont caché cet argent et vivent comme si de rien n'était, mais Alex, via une relation à lui, déniche tout de même un calibre, via Ashley un pote flic très souple sur les règles, qui a acheté aux enchères un container abandonné où se trouvait cette arme mais aussi un album photo de famille que Maggy récupère. Maggy poursuit ses enquêtes pour Mr. Wight en même temps qu'elle tente d'identifier le propriétaire de l'album de photographies. Alex poursuit de son côté ses activités. Mais Shirley va réapparaître...
    Ce 3è tome reste absolument dans la continuité de ses excellents devanciers, avec une maîtrise impressionnante du suspense, de la narration, de la vie quotidienne des Brexiters, des personnages et des dialogues de la part de Trondheim. Je n'ai détecté qu'une faute de goût : donner à un personnage britannique le prénom de "Steeve", pénible invention orthographique toute franchouillarde. Les dessins de Oiry, d'apparence simple mais précis et clairs, donnant en particulier toute leur place aux décors, sont particulièrement efficaces et constituent un véritable atout de cette série qui est de surcroît très bien mise en couleurs.
    La "rentrée littéraire" (est-ce que ce phénomène existe aussi Outre-Manche ?) commence vraiment très bien au rayon BD !
    5 personnes ont trouvé cela utile
    Signaler